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La gym c'est la santé

 La gym c'est la santé

e fais de la gym une fois par semaine. Cela me détend et me permet d'oublier toutes les vicissitudes de la vie quotidienne. C'est vrai que soulever des haltères ou faire du vélo d'appartement peut paraître dérisoire alors que des tours s'effondrent et que des obus se mettent à pleuvoir, mais que voulez-vous, il faut bien vivre ! Je fréquente une salle située en plein centre de Nice.

- Bonjour Mademoiselle Oriane !

- Bonjour Tim, ça va ?

- Oui et vous ?

- Ça va…

Paroles banales qui réchauffent le cœur, impression rassurante d'être connue de tout le personnel. Je donne ma carte à Tim, le préposé à l'accueil et je file vers le vestiaire. Me changer ne demande que quelques minutes et je peux ensuite me défouler sur les appareil de musculation. Pendant que mon corps souffre, mes pensées tourbillonnent, les minutes s'effilochent…

Je me concentre sur la barre que je soulève. Les habitués arrivent peu à peu et la salle se remplit. La sueur coule sur mon front et dans mon dos. J'abandonne les haltères pour les espaliers. Suspendue par les bras à la barre métallique, je lève les jambes à l'horizontale et j'essaie de tenir le plus longtemps possible. Mes cheveux se dénouent et retombent sur mes épaules. Je suis en nage mais je me sens bien. Je m'octroie quelques instants de récupération et j'en profite pour regarder ce qui se passe autour de moi. Tous les appareils sont maintenant occupés. Des bribes de conversation arrivent à mes oreilles. Les gens viennent ici pour faire du sport mais aussi pour draguer.

Un mec passe devant moi et me dit bonjour. Il est grand, brun , bien bâti. Un cycliste fluo moule une paire de fesses musclées. Il se dirige vers le fond de la salle et pousse la porte du vestiaire. Mue par une impulsion subite, je me lève et, sans réfléchir, je prends la même direction que lui.

Le vestiaire est vide mais la douche fonctionne. C'est un vestiaire collectif, identique à celui du PSG que j'ai vu à la télé l'autre soir, une dizaine de sacs jonche le sol. Je ne peux m'empêcher de sourire… Ces messieurs n'ont pas le sens de l'organisation : les portemanteaux sont presque tous inutilisés, pourtant les bancs parallèles aux murs sont encombrés de fringues.

Je m'avance doucement vers les douches. Un coup d'œil me suffit pour constater que mon grand brun est sous l'eau. Il a vraiment une carrure d'athlète. L'eau dégouline sur sa tête et rebondit sur son corps musclé. Il me tourne le dos et je ne vois de son intimité qu'une superbe paire de fesses. J'hésite un peu, le temps de calmer les battements de mon cœur, et puis je me décide.

Résolument je m'avance vers mon athlète, appuyant par jeu sur tous les boutons. Il se retourne, surpris, mais n'esquisse aucun geste.

La nana que j'ai remarquée sur les espaliers est là, à deux mètres, en train de me reluquer ! Elle est habillée mais ça n'a pas l'air de l a gêner. J'en reste baba ! Avant que je ne puisse bouger, elle se plante tout contre moi et plonge deux grands yeux bleu myosotis dans les miens. J'ai l'impression de me noyer. Sans me quitter du regard, sa main prend mon sexe et se met à le caresser. L'eau coule sur ses cheveux noirs et sa combinaison fluo la moule comme une seconde peau. Elle est jolie et je suis sous le charme. Je me mets à bander comme un fou, le sang palpite dans ma queue qui se dresse fièrement. J'ai toujours mon produit de douche dans les mains. L'eau s'arrête de couler.

Il bande le petit, et quel engin ! Il n'a pas l'air outré, c'est déjà ça ! Je me laisse doucement couler à ses pieds. Mon visage est à la bonne hauteur : devant mes yeux, sa bite a une fière allure. Je presse doucement les deux boules soyeuses dans mes mains, j'approche ma bouche et je me mets à le taquiner à petits coups de langue. La tige se met à palpiter et il ne peut retenir un soupir lorsque mes lèvres l'enserrent complètement.

Elle me suce divinement bien ! Sa bouche monte et descend le long de mon sexe et je ne vais pas pouvoir me retenir bien longtemps si je la laisse faire. Sa langue entoure le bout de mon gland, la jouissance n'est pas loin, il faut qu'elle arrête… Je me dégage brusquement, au bord de l'orgasme. Je la relève et la plaque contre le mur carrelé. Elle attend, un léger sourire sur les lèvres. J'attrape le haut de sa combinaison et la tire brutalement vers le bas. Le bruit du tissu qui se déchire emplit l'air de la douche. J'appuie rageusement sur le bouton et l'eau gicle. Ses seins sont petits et écartés, leur pointe rouge vif dardée vers moi. La maintenant toujours contre le mur, je me mets à lui lécher la poitrine, affolant par de petits coups de langue ses tétons qui durcissent. Elle se cambre vers moi, la tête renversée. Sa combinaison pend sur ses hanches, je tire tout brutalement vers le sol. Elle est nue. Sa chatte est complètement rasée, ciselure rose sur sa peau blanche. Ma main droite écarte cette entaille et pénètre dans l'intimité de ses chairs. Elle mouille, elle veut du sexe, elle va en avoir.

Il est brutal, le monsieur. J'aime ça. Cette impression d'être à la merci d'un homme me met en transe. Ma chatte s'humidifie, je la sens s'éclore sous les mouvements brusques du type. Un doigt me pénètre, je me retiens de gémir. Sa langue quitte la pointe de mes seins et descend vers mon pubis. Sa chaude poussée finit de m'ouvrir et il se met sans vergogne à me lécher le clitoris. Ses deux mains appuient sur mes fesses et je me retrouve littéralement plaquée contre sa bouche. J'ai chaud. Mon dos heurte le bouton et l'eau se remet à couler.

J'arrête de lui brouter le minou. Elle me regarde, une lueur égarée au fond des yeux. Elle est mignonne comme ça, son corps dégage une sensualité animale qui me trouble beaucoup. Je la retourne contre le mur et me presse contre elle, la bite entre ses fesses. Je remonte doucement et je n'ai aucune difficulté à la pénétrer. Son sexe chaud s'écarte et enserre mon gland.

Mes seins s'écrasent sur les carreaux blancs. Son sexe a du mal à s'introduire en moi. Je me recule lentement, m'empalant sur sa tige palpitante. Les parois de mon vagin s'écartent au fur et à mesure et je me retrouve assez vite complètement investie. Il se met à me parcourir de toute la longueur de son pilon. C'est bon, j'accompagne ses mouvements comme je peux. Ses deux mains viennent enserrer ma poitrine et il se met à triturer mes pointes de seins. C'est une caresse qui me fait toujours de l'effet, j'entends dans un éclair de lucidité mes gémissements prendre de l'ampleur. J'ai l'impression d'être suspendue en plein vol sur sa bite qui heurte le fond de mon ventre à chaque poussée. Une chaude langueur monte du fond de mes reins.

Je la baise à fond. Mon sexe la parcourt sur toute sa longueur, elle est complètement ouverte, elle crie, je vais jouir, je jouis, ahhhhh !

Mon héros reprend des forces. Nous sommes maintenant dans le vestiaire. Il s'est assis sur un banc. J'ai encore envie d'en profiter. Je le reprends dans ma bouche. Son sexe n'a presque pas molli et conserve une rigidité plus qu'honorable. Je suis agenouillée dans une posture de femme soumise, entre ses jambes. J'ai perdu ma combinaison dans la bataille, elle doit traîner dans la douche. C'est alors que j'entends des bruits de voix, quelqu'un entre dans le vestiaire.

 

Je me souviendrai longtemps de la tête des deux types lorsqu'ils nous ont vus ! Il faut dire que nous formions un tableau assez plaisant, tous les deux tout nus, elle en train de me sucer, à genoux, et moi vautré sur le banc ! Ils n'ont pas mis beaucoup de temps à réagir : ils se sont jetés un regard et sont venus s'asseoir de chaque coté de nous. La fille a relevé la tête, leur a souri, et a recommencé à me sucer. Du coup, j'ai senti le sang affluer dans mon sexe et j'ai vite retrouvé une superbe érection.

J'ai une bite dans la bouche et une dans chaque main. Ils bandent tous les trois comme de superbes étalons. Je veux jouir moi aussi. C'est moi qui vais choisir la manière. J'ai trois beaux engins à ma disposition, je ne vais pas m'en priver. Je repousse leurs mains qui me tripotent et je me redresse.

Dieu, qu'elle est belle ! ses yeux étincellent, sa poitrine monte et descend sous l'effet de sa respiration saccadée. Telle Diane en colère, elle me repousse fermement sur le banc et je me retrouve allongé sous elle. Elle me rappelle ce tableau qui m'avait beaucoup impressionné lorsque j'étais gamin : il représentait une fille à cheval, complètement dépoitraillée et la légende indiquait " Diane chasseresse ". Ses cheveux tombent sur ses yeux, un petit bout de langue rose dépasse entre ses incisives. Elle m'enjambe et se met à la verticale de ma queue, face à moi. Elle repousse ses cheveux en arrière, me saisit à pleines mains, place le bout de mon gland contre ses lèvres et s'empale. Ma bite la pénètre sans difficulté cette fois-ci , elle est complètement ouverte. Je la saisis par les hanches et ne m'occupe plus des deux autres, entièrement occupé à la baiser.

Là ça commence à être bon. Je fais signe au deuxième de venir se placer à genoux derrière moi et il comprend vite. Son sexe tâtonne dans la raie de mes fesses, remonte et se place face à l'anneau resserré de mon anus. Une légère pression et les parois lubrifiées s'écartent sous la poussée qui leur est familière. Le mec en dessous de moi s'immobilise le temps de laisser son compère s'installer, et puis il ne résiste plus et se remet à me labourer. Les deux bites bougent à l'unisson, le rythme est vite trouvé et les sensations qu'elles me procurent sont indescriptibles. Le troisième gars apparaît dans mon champ de vision, la queue dressée. Je l'attrape et l'engouffre dans ma bouche. Soudain je sens le membre qui me sodomise lâcher un jet brûlant tandis que son propriétaire laisse échapper un cri rauque. Sa jouissance provoque une vague qui m'emporte telle un feu d'artifice qui éclate sans crier gare.

Elle a quitté le vestiaire sur un sourire, sans une parole. Je ne l'ai pas revue lorsque je suis sorti dans le hall. Le gars de l'accueil m'a dit qu'elle s'appelle Oriane. Sa combinaison fluo est dans mon sac, j'espère bien lui rendre si je la rencontre de nouveau.

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