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Yoga Yogui |
Yoga Yogui L'autre jour, à ma leçon hebdomadaire de yoga, j'ai connu un grand moment d'intensité sexuelle. Encore un grand moment, me direz-vous.. Yes yes yes... Heureuse fille que je suis; j'arrive toujours à faire feu de tous bois, et il est des fois ou plus le bois est vert et plus le feu est roi... Avec malice, j'ai réussi à convaincre mon prof que j'avais extrèmement besoin d'un supplément de cours, et je l'ai obtenu sans trop de difficulté. Nous nous sommes donc retrouvés seuls, après la fin du cours, dans la salle habituelle, qui est conçue pour servir également de salle de danse. Imaginez une grande pièce, aux murs garnis de barres, parquet à terre (recouverts de tapis quand les yogi sont dans la place), miroirs d'un côté, baie vitrée en face, murs blancs recouverts d'affiches pour des spectacles de danse entre les deux. Je me tenais debout dos au miroir, mon tapis à mes pieds, attendant les instructions que mon jeune et sémillant prof allait me donner, et je m'attachais à arborer l'attitude la moins équivoque possible: que les choses soient claires, je ne voulais surtout pas que ce jeune homme se méprenne sur mes intentions ou mette plus de 15 secondes à identifier mes véritables motifs... Cambrée comme jamais, l'oeil incendiaire, j'ai consciencieusement allumé mon ami yogi tandis qu'il faisait mine de s'intéresser à la façon dont je pliais les genoux ou faisais travailler mes articulations . Il avait la manie de s'aider de ses mains avec la plus grande convivialité, me touchant en des endroits parfois très osés sans paraître trouver cela déplacé. "Aïe aïe aïe!"je me suis soudain écriée, "il y a quelque chose
qui bloque là...Au niveau du col du fémur à peu près" J'étais légèrement en sueur et les sens très en alerte suite à
mes efforts de l'heure précédente, tout mon corps se sentait super réceptif,
comme si mes terminaisons nerveuses avaient été stimulées par l'exercice ... Ma
peau se hérissait de chair de poule alors que je sentais ses mains se prommener
sur mon épiderme. J'ai remué lentement le bassin,me frottant de plus en plus fort,
puis je me suis retournée, faisant à présent face au miroir. J'ai commencé à
caresser tout son corps sans oublier ses fesses bien rondes et musclées qui se
dessinaient bien sous le pantalon. N'écoutant que mon instinct, je suis tombée à ses genoux pour gouter sa queue. Il caressant doucement ma nuque, sans vraiment guider mon mouvemant, me laissant aller à mon rythme. J'ai commencé par lécher son gland pour bien le recouvrir de salive puis je l'ai englouti dans ma bouche, trouvant de suite une cadence qui nous convenait à tous les deux. Après quelques secondes de ce traitement sa queue a encore augmenté de volume. Elle était vraiment très grosse, les veines n'étaient pas très apparentes, et la peau en était douce. Quand elle a atteint sa taille optimale (ou ce que je tenais du moins pour tel) je devais, pour bien la sucer, ouvrir les machoires au maximum, les lèvres arrondies en un O d'emerveillement. J'ai légèrement écarté mes cuisses l'une de l'autre, puis je les ai rapprochées. La pression ainsi exercée sur mon clitoris était hautement érotisante, et je savais que j'étais déjà bien trempée. Ensuite Theo m'a faite me relever et écarter largement les
jambes, fesses vers le miroir. Me débarrassant de mes vêtements, il a glissé la
main le long de ma chatte brûlante puis a écarté les deux globes de mes fesses
de ses paumes, révèlant au miroir mon intimité la plus secrête. Ses doigts faisaient un lancinant va-et-vient entre mes petites lèvres et mon clito, ne lachant l'un que pour mieux aller titiller les autres. Ma main droite a rejoint la sienne et je me suis donné un petit coup de boost qui m'a presque envoyée au plafond. J'avais de plus en plus de mal à rester en équilibre sur mes
jambes, d'autant que la bouche de Theo avait rejoint ses doigts, et que de sa
langue il me caressait désormais avec une maitrise consommée. Il s'en tirait
très bien aussi (on n'avait pas dû lui apprendre que le yoga mais aussi le
kamasutra en Inde...) et assez vite j'ai eu l'impression que j'allais jouir...
Seulement il ne l'entendait pas de cette oreille, et après avoir entendu mes
cris, donc, il a changé de tactique, enfonçant d'abord deux doigts puis trois
dans ma chatte complêtement trempée de mouille et de salive. La friction était
démoniaque, et le fait de jeter de temps à autre un regard de biais au miroir ne
faisait qu'augmenter mon excitation. Je me suis dégagée de sa caresse qui dégénerait trop vite à mon
gout alors que j'avais encore envie de m'amuser avec lui, et lui faisant face je
l'ai embrassé à pleine bouche, me serrant contre lui et caressant sa queue d'une
main fiévreuse. Soudain mon yogi a eu envie de passer aux choses serieuses, et je veux bien croire que le précédent spectacle de ma croupe largement offerte, surplombant mes longues jambes écartées et tendues au maximum, l'ait quelque peu échauffé lui aussi. D'un geste assez brusque il m'a fait m'étendre sur le fin tapis
qui nous protégeait du parquet bien dur, et il a complêtement ouvert les
cuisses, étendant ma jambe gauche alors qu'il repliait l'autre vers ma propre
épaule. Il a appuyé sa paume sur l'intérieur de mon genoux et a fait pression,
doucement mais sûrement. Je me sentais légèrement contrainte, car je suis
naturellement assez souple, et cette sensation n'était pas désagréable. N'y tenant plus, j'ai attrapé ses adorables fesses rondes et
pommelées et je l'ai attiré contre moi. Le poids de son corps portait davantage
sur ma jambe gauche, et il avait calé son épaule à l'intérieur de mon genoux
droit, faisant jouer ce mystérieux mécanisme qui me faisait me sentir de plus en
plus émue au fur et à mesure que j'était écartelée. Je nous voyais dans le miroir, et parfois je croisais le regard
de mon fougueur amant d'un soir. J'ai crispé les mains sur ses reins, l'attirant
plus loin et plus vite en moi... Il me défonçait littéralement à présent; cette
sensation sauvage d'etre remplie puis brutalement abandonnnée puis remplie à
nouveau me donnait envie de crier, de ne plus chercher à retenir ma jouissance
et de me laisser aller au plaisir sensationnel qui était le mien. Oubliant toute notion de discrétion , je me suis mise à hurler
mon plaisir en recevant les derniers coups de boutoir de celui qui n'allait pas
tarder à faire comme moi.
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