La danse du ventre
Je suis sortie en boite voici quelques jours
avec un groupe de connaissances avec qui je fais parfois la fête, le genre de
fêtes qui dégénèrent souvent une fois l'ambiance un peu chauffée. Et cette
fois encore ça n'a pas raté. Faut-il toujours qu'à chacune de mes sorties en
discothèque je me retrouve quasi-nue et dans les situations les plus
compromettantes? Il semble que oui! :)
Tout a commencé par quelques danses et un pari que
j'ai fait avec un de mes accompagnateurs. Il avait repéré une fille qui le
faisait bander, et il m'assurait qu'il l'aurait avant la fin de la nuit. Quant à
moi, je la sentais très intéressée par un autre type qui n'avait rien à voir
avec notre groupe, et j'imaginais qu'elle partirait avec lui avant
l'aube. L'enjeu était un striptease intégral, de sa part ou bien de la mienne
selon qui gagnerait.
Toute la nuit, je me suis promenée de groupe en
groupe, retrouvant ça et là de vieilles connaissances ou d'anciens amants,
dansant jusqu'à en perdre le souffle, riant et virevoltant comme si c'était ma
première sortie nocturne. Je surveillais du coin de l'oeil la fille que mon
camarade - appelons-le Fred - avait remarquée et je ne constatais aucun signe
d'intérêt de sa part envers mon pauvre camarade, ce qui m'attristait un peu pour
lui mais me faisait glousser d'impatience à l'idée de le voir bientôt se
déhancher et se dénuder devant tout le monde. Quant à moi, si j'avais
distingué deux ou trois mecs envisageables dans l'assistance, je n'avais encore
noté personne qui me donnât un tant soit peu envie de le ramener chez moi et
j'escomptais donc obtenir sur place autant d'amusement que je le
pouvais.
Vers 3h du matin Fred m'a attrapée par le bras et
m'a tirée de la piste de danse pour m'entrainer vers les toilettes de la boite -
haut lieu de drague et d'interactions humaines en tous genres. Un large couloir
menait à une grande salle séparée en deux parties par des cloisons abondamment
taggées. Au milieu se trouvaient les lavabos en commun, et de chaque côté une
série de larges boxes qui a vue de nez pouvaient accueillir chacun au moins...
trois personnes!
"- Après l'avoir bien chauffée, son gars l'a
laissée en plan.. Je n'ai plus eu qu'à la cueillir!" m'a soufflé Fred dans
l'oreille en se dirigeant vers le dernier box, dont la porte n'était pas
fermée.
A l'intérieur se trouvait la fille, une jolie
blonde à l'oeil passablement envapé, qui souriait tous azimuts. Elle n'a même
pas attendu que je sois rentrée dans le box - dont la taille excluait presque
l'idée qu'ils aient été conçu en premier lieu afin d'abriter des toilettes -
pour attraper Fred par la boucle de sa ceinture, et pour l'attirer vers elle
d'un geste impérieux. Elle a ouvert sa braguette et a sorti d'une main habile
sa queue de son caleçon. Elle a commencé à le branler très doucement, en léchant
son gland par petites touches délicates et rapides. Fred s'est tourné vers
moi, avec un air qui signifiait "je te l'avais bien dit", puis il s'est
concentré sur ce que lui faisait la blonde, dont un bracelet dansant à son
poignait proclamait "Audrey" au rythme de la branlette qu'elle lui
administrait. Puis elle l'a englouti dans sa bouche, avalant entièrement la
bite de Fred qui, sans être spécialement énorme, était tout de même de bonne
taille. Elle s'est mise à le pomper lentement, à le déguster littéralement, et
cette vue faisait confusément son petit effet sur moi: je sentais une chaleur
diffuse dans mon ventre, et j'avais envie de me toucher.
Mais pas de rester plus longtemps dans cet endroit
qui n'était pas le plus sexy que je puisse imaginer... J'ai effleuré l'épaule
de Fred, et je lui ai soufflé dans l'oreille que, perdante pour perdante, je
n'allais certainement pas faire mon striptease dans les toilettes, et que je
retournais sur la piste voir qui ça intéresserait. Un mec m'a arrêtée en
chemin et m'a offert un verre, puis une danse. J'ai accepté les deux, et pendant
que nous étions collés l'un à l'autre pour une danse pour le moins langoureuse,
je sentais sa bite devenir de plus en plus dure contre ma cuisse. Je me suis
cambrée, et je me suis frottée contre lui, me concentrant sur ce gros braquemart
plaqué contre moi. De loin j'ai vu Fred et Audrey revenir en pleine lumière.
Audrey avait un sein sorti de la robe, et tout le monde l'a matée sur son
passage. La boite était à demi vide, la plupart des gens étant rentrés chez
eux ou partis ailleurs au milieu de la nuit, et le lieu avait imperceptiblement
commencé à changer d'ambiance, se parant d'une atmosphère feutrée digne d'un
club échangiste. A ce moment, le DJ a décidé de passer un morceau que
j'adorais, à la fois sensuel et un peu dark, avec de grosses basses
hypnotisantes et un groove un peu bizarre. Je me suis rapidement retrouvée au
milieu de la piste, me déhanchant comme si j'étais en transe, perchée sur mes
talons. Je ne portais qu'une jupe fendue sur un côté, un débardeur en strass
et pas de sous-vêtements - comme je fais souvent quand je sors avec l'intention
claire de faire des folies de mon corps. En dansant j'ai légèrement fait
remonter ma jupe, et mes doigts sont allés se glisser vers ma chatte, trouvant
mon clitoris hypersensible entre mes petites lèvres toutes gonflées de désir.
J'étais ruisselante depuis que j'avais vu Fred se faire sucer de la sorte par
cette inconnue, et j'avais plus que tout envie d'enfoncer deux doigts très
profondément dans ma chatte, mais j'allais me retenir. Je n'allais pas jouir
avant d'avoir rendu fou ou folle de désir toutes les personnes ici
présentes.
J'ai relevé mon débardeur au dessus de mes seins.
J'avais les tétons très durs et j'avais envie qu'on me les caresse, qu'on me les
titille. J'ai pris mes seins à pleine main, les écrasant contre ma poitrine,
jouant avec de la paume et du bout des doigts, alternant les caresses franches
et les effleurements électrisants. Ma main droite est retournée s'aventurer
du côté de mon entre-cuisse, puis j'ai décidé de me débarrasser de ma jupe. Pour
ce faire je n'avais qu'à dégrafer une petite attache sur la hanche, et je me
suis retrouvée nue à part une bande de tissu brillant au dessus des seins. La
musique n'avait pas perdu en sensualité, et j'avais même l'impression que le DJ
était mon complice, choisissant avec soin les mélodies les plus propices à
accompagner ma transe.
J'ai agité ma jupe tel un drapeau, restant fidèle
aux codes du strip tease, et je l'ai jetée sur Fred et Audrey, qui se
léchouillaient dans un coin, lui le pantalon aux chevilles, elle à moitié
nue. L'atmosphère de l'endroit était plus moite que jamais, et peu à peu tous
les danseurs s'étaient mis à notre diapason. Certains mataient, immobiles,
d'autres avaient la main dans le caleçon ou dans la culotte de la nana la plus
proche, d'autres encore ne faisaient déjà plus attention à nous.
Je continuais à danser, les cuisses un peu
écartées, sans vraiment m'autoriser à me toucher trop vite car je savais qu'à ce
moment je perdrais tout contrôle. je voyais devant moi au moins six à sept mecs
la queue à la main, qui se branlaient en me regardant. Cette vision était
tellement excitante que je me suis remise à mouiller de plus belle, louchant sur
toutes ces grosses queues qui n'attendaient plus que moi. Fred était
maintenant en train de défoncer Audrey en levrette, et la moitié de l'assistance
était aussi captivée par leur baise que l'autre l'était par ma petite
danse. Je me suis rapprochée d'eux, et je me suis assise entre deux mecs dont
la queue m'attirait comme un aimant. J'en ai pris une dans chaque main, et je
les ai branlés tout en écartant mes jambes au maximum. Un autre type s'est
agenouillé devant moi et il m'a léchée, titillant mon clito du bout de la
langue, léchant ma fente brûlante et trempée. Je branlais mes voisins de
droite et de gauche en rythme, gémissant de plus en plus fort à mesure que la
caresse de mon lécheur s'intensifiait. Il s'y prenait vraiment bien, et je me
sentais devenir liquide sous sa langue; je désirais plus encore, je commençais à
avoir sérieusement envie de me faire prendre par une de ces grosses bites qui
remplissaient ma main, et en même temps j'aimais qu'une partie du spectacle se
déroule du côté d' Audrey, qui semblait plus déchainée que moi
encore.
Le type qui me léchait s'est mis à me doigter en
même temps, enfonçant d'un seul coup trois doigts dans ma chatte avide d'être
pénétrée. Il s'est tout de suite mis à me branler très fort, intensifiant en
même temps la succion de mon clitoris, et je n'ai pas tardé à ressentir au creux
de mon ventre la brûlure de l'orgasme m'envahir. Je me suis baissée au hasard
vers l'un des sexes que je branlais, et je l'ai pris dans la bouche, l'enfonçant
au fond de ma gorge. Je me suis mise à le sucer très vite et la sensation
grisante d'avoir la bouche remplie par une grosse queue pleine de foutre n'a pas
tardé à produire son effet: j'ai été happée par un orgasme surpuissant qui m'a
fait relever la tête afin d'avoir la liberté de crier mon plaisir à
foison. Le bruit a attiré ceux qui ne s'étaient pas encore rendu compte de ce
qui se passait et le cercle s'est resserré autour de nous, nous plaçant au
centre d'une assemblée assez conséquente d'hommes et de femmes tous plus ou
moins nus et excités.
Je me suis penchée à nouveau et j'ai recommencé à
sucer le même homme, en massant ses couilles en même temps. Je le sentais
trembler de plaisir sous mes caresses, et plus notamment quand du bout dardé de
ma langue j'agaçais son frein. Ca m'excitait beaucoup de le sucer et je
mouillais plus que jamais, d'autant que la plupart des mecs qui m'entouraient
avaient tous la queue à la main, fière et conquérante. A deux mètres de là,
Audrey se faisait prendre à la chaine par plusieurs mecs. Fred avait apparemment
eu son compte, mais la demoiselle en voulait encore, et elle offrait sa chatte à
qui voulait bien venir se positionner derrière elle. Son visage était trempé, et
malgré le faible éclairage j'imaginais que ça devait être du sperme.
L'homme que je suçais s'est soudain mis à éjaculer
à grand jets dans ma bouche, et aussitôt une nana que je n'avais pas encore
remarquée s'est jetée sur moi pour m'embrasser, enfonçant bien sa langue,
cherchant à récupérer le plus de foutre possible. Ensuite l'homme l'a caressée,
et j'ai supposé qu'ils devaient déjà se connaitre. A ce moment un inconnu
s'est soudain glissé en moi, caressant mon clito de son gland avant de pénétrer
ma chatte bien chaude. Immédiatement je me suis sentie au diapason de cet
inconnu, dont je n'avais pas même vu le visage. J'aimais comment il me
défonçait, consciencieusement, lentement, puissamment. Son gland labourait mon
ventre et allait et venait, sans rémission pour moi qui appréciais tellement le
traitement que je ne pouvais m'empêcher de crier à chacun de ses coups de
boutoirs.
J'ai joui très vite, les yeux plongés dans ceux
d'Audrey qui se faisait présentement prendre par un beau mec black bien musclé.
J'ai eu à peine le temps de penser que j'aurais aimé être à sa place que déjà
c'était un autre qui la baisait. Derrière la liste était longue.
En souriant, j'ai récupéré mes vêtements, et je me
suis subrepticement glissée vers Fred:
"- J'y vais, maintenant. je suis un peu
fatiguée... Mais personne ne pourra dire que je ne tiens pas mes promesses, ou
que je ne sais pas mettre une ambiance! Et maintenant, éclate-toi bien!
"
"- je te revaudrai ça..." a t'il dit en
retour.
Puis je suis sortie, sautant dans le premier taxi
venu. Ce que je ne savais pas, c'était que j'avais perdu mon porte-monnaie en
route, que je n'avais rien pour payer le chauffeur, et qu'il allait en
profiter. Mais ceci est une autre histoire, que je vous raconterai une
prochaine fois! :-)
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