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Deux amis 2 |
Deux amis 2 Si vous vous souvenez bien, à la fin de ma
dernière histoire, je me trouvais dans une très mauvaise posture... "oui??" La porte s'est ouverte à toute volée, et j'ai senti que mon coeur pourrair lâcher tellement la tension était dense. Thomas a retiré son doigt de ma personne, Thibaud a grogné, et j'ai ouvert tout grand la bouche d'étonnement. Celle qui se tenait sur le pas de la porte était
Mélanie, une pionne du lycée. Elle était étudiante en histoire et d'après ce que
je savais elle trainait quelquefois avec Thomas. C'était une blonde assez
basique d'environ vingt-deux ans, mignonne, sans plus, vêtue sans ostentation
mais avec un minimum de goût. Sans nous laisser le temps de réagir, Mélanie s'est approchée de Thomas et l'a embrassé goulûement sur la bouche. C'était donc ça..... Thomas le timide se tapait une pionne en cachette, voila pourquoi il semblait tellement plus capable que Thibaud lorsqu'il avait une jeune fille entre les mains... "J'ai dit à ta mère que Thomas m'avait donné RDV ici pr vous faire réviser la quatrième république", a-t'elle expliqué à Thibaud. Elle n'arborait aucune expression particulière, ni amusement, ni étonnement, ni désapprobation. Se retournant, elle a trouvé sur la porte un verrou qu'elle a poussé en nous jetant un coup d'oeil. "A votre place, j'aurais commencé par là", a-t'elle remarqué. Puis, sans façon, elle a retiré son tee shirt d'un geste négligeant. Elle ne portait rien en dessous, et elle est restée un instant comme ça immobile, seins nus, à nous regarder d'un air amusé, avant de se diriger vers la chaîne de Thibaud et de mettre un disque dans la platine. Aussitôt un brouhaha guitaristique s'est elevé dans la pièce, nous enveloppant d'un halo sonore qui nous garantirait au moins une certaine discrétion dans nos activités à venir. Après quoi Mélanie est venue s'assoir sur le lit, près de moi et de Thomas. Elle a enlacé ce dernier, et l'a embrassé avec davantage encore de gourmandise que précédemment, si c'était possible. Elle frottait ses seins contre sa poitrine non encore très virile, laissait échapper de petits gémissements assez torrides se tortillait en tous sens... Puis elle s'est arrachée à cette étreinte apparemment délicieuse, et m'a regardée dans les yeux. Elle n'avait pas semblé avant cet instant m'accorder la moindre importance. A présent, elle me considérait avec un intérêt non feint, et peu à peu un sourire s'est peint sur ses lèvres. "haa...." a-t'elle dit, "mais c'est notre petite mademoiselle parfaite de la terminale A! Prise en flagrant délit comme une petite salope qu'elle est!" Ne sachant quoi répondre, je suis restée
silencieuse. Mélanie se tenait très près de moi. En me penchant un peu, j'aurais
pu frotter mon nez contre le sien, en un de ces fameux bisous d'esquimaus. Pendant ce temps les garçons ne bougeaient pas.
Ils étaient comme hypnotisés par le spectacle, caressant doucement leurs queues
quand ils n'étaient pas trop estomaqués pour faire un mouvement. Histoire de varier les plaisirs, je me suis alors penchée sur la queue de Thomas, et je l'ai prise dans ma bouche, léchant son gland de ma langue douce et souple pendant que je lui caressais les couilles de ma paume. Il a rejeté la tête en arrière et a gémi. Rapidement sa queue a atteint sa taille et sa dureté maximales, et une fois arrivée à ce résultat je l'ai laissée sortir de ma bouche, tout en la branlant énergiquement de la main. Je me suis retournée vers Mélanie et je l'ai embrassée, la bouche encore pleine du goût de la bite de son copain. Je commençais à me sentir vraiment bien, comme ça, une queue dans la main et la langue de Mélanie dans la bouche. Se sentant un peu rejeté, Thibaud s'est approché de moi par derrière et il s'est mis à me caresser les seins. je me suis cambrée et j'ai frotté mes fesses contre sa queue bien dure. Puis Thomas a enfin fait quelque chose d'intérêt
public, il a déboutonné le jean de Mélanie et l'a descendu sur ses jambes. Elle
portait dessous un string en coton rose, auquel il n'a pas touché. Probablement étonnée et charmée de mon sens de
l'initiative, Mélanie se laissait faire, s'offrant avec enthousiasme. Thomas
s'est agenouillé près d'elle, de manière à ce qu'elle puisse le sucer pendant
qu'elle s'abandonnait à mes caresses, et elle a aussitôt englouti sa
queue. J'ai soudain attrappé le string rose et j'ai
entrepris de le lui retirer, car j'en avais assez de faire autant d'efforts pour
l'empêcher de se mettre en travers de mon chemin. Immédiatement, elle a soupiré, avec toujours la
queue de Thomas dans la bouche, et s'est mise à le sucer plus fort. Plus je
l'exciterais, et plus elle sucerait bien ai-je vite compris. J'ai regardé un
instant la queue du garçon disparaitre entre ses lèvres, puis en sortir, puis
disparaitre à nouveau, et cette vision m'a tellement échauffée que, passant la
main entre mes jambes, j'ai réalisé que j'étais trempée. J'ai enfoncé à nouveau mes doigts dans son vagin pendant que je suçais son clito et quelques va-et-viens plus tard Mélanie a commencé à vraiment se laisser aller; j'ai deviné qu'elle s'apprêtait à jouir et je me suis appliquée comme je pouvais pour ne pas lui gâcher ce moment. Au bout de quelques secondes, j'ai senti son ventre se contracter autour de mes doigts, comme il m'arrivait à moi aussi au moment de l'orgasme, et je l'ai léchée plus fort. Elle a mordu l'oreiller pour ne pas hurler, puis
elle s'est laissée retomber sur le lit, détendue, voire même toute molle.
D'après ce que je voyais, je l'avais vraiment achevée. J'étais en sueur, comme nous tous, et je commençais à me sentir un peu en transe. Ma tête n'était plus remplie que par des images de sexe. Je ne voulais plus rien d'autre que du sexe. Puis Mélanie s'est relevée, et elle m'a faite
m'allonger à sa place d'un geste. Elle s'est mise sur moi en 69, et elle a aussi
tôt commencé à me lécher. Je me sentais tellement bien que j'avais
l'impression que j'allais encore jouir très vite, et mon plaisir était encore
augmenté par ce qui se passait sous mes yeux. J'ai eu une pensée pour Thibaud, qui en était
encore réduit à se branler en nous regardant, et je lui ai dit de me prendre,
maintenant. La boule de feu a remonté doucement le long de mon ventre jusqu'a atteindre ma gorge, et à ce moment j'ai ouvert grand la bouche et j'ai exhalé un long soupir au lieu du cri que j'aurais aimé pousser, tandis qu'au dessus de mes yeux Thomas achevait spasmodiquement de prendre Mélanie qui avait joui aussi. Envahie par le plaisir, j'avais une sacrée flemme
de bouger. J'avais envie de m'endormir ici, de ne plus faire qu'un avec ces
corps emmêlés. "je vous laisse, j'ai pas mal de choses à faire à présent,"ai-je lancé à la cantonnade. Mélanie m'a regardée avec l'oeil brillant puis elle m'a envoyé un baiser. J'ai répondu de même, un sourire dans l'oeil, tandis que Thibaud demandait: "ha oui tu ne peux pas rester?? Dommage..... Faut que tu fasses quoi?" "Rien de spécial" ai-je répondu d'un ton impatient, "faut juste que je glande deux trois trucs à droite à gauche..." Ramassant mes papiers et mon sac, je suis sortie
de la pièce et j'ai pris l'escalier. "Ah, comme c'est gentil à vous d'être venue pour donner quelques leçons à mon garçon et son ami, quand je pense qu'il y en a qui disent que la solidarité n'existe plus chez les jeunes..." Elle a soupiré et secoué la tête. "non, vraiment," a-'elle repris, "c'est très aimable à vous. Il faudra revenir, surtout!" "ne vous inquiétez pas, tout le plaisir était pour moi" ai-je répondu . Nous nous sommes serré la main et je suis partie.
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