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Coupe sexy

Une coupe sexy

 Lorsque je pousse la porte de chez Tony, il est à peine 14 h 00. J’ai décidé ce matin en me levant, que mes cheveux avaient atteint leur longueur limite et qu’il était temps de les raccourcir un peu. En plus, j'avoue que j'adore aller chez le coiffeur. J’ai toujours aimé l’atmosphère chaleureuse qui règne dans le salon de coiffure, l’odeur des produits, le contact des mains de Tony, les rencontres que l’on y fait. Le salon est situé en plein cœur de Nice, pas très loin de mon club de gym. J’ai tendance, il est vrai, à tout centraliser…

Il y a peu de monde aujourd’hui, mais Tony est occupée avec une personne âgée. C’est donc son assistante, Nathalie, qui me prend en charge. Elle m’aide à me débarrasser de ma veste et de mon sac qu’elle pose dans le vestiaire, puis me prépare pour le shampooing. Les bacs sont situés au fond du salon, tout près du local des soins particuliers : Tony propose aussi à sa clientèle des soins de beauté, et l’on peut se faire épiler ou bronzer sous la rampe de rayons ultraviolets qui se trouve dans cette petite pièce.

J’enfile une blouse bleue, je m’assois sur le fauteuil, je penche la tête sur le bac et je ferme les yeux. Je ne sais pas vous, mais moi c’est un moment que j’apprécie : je me laisse complètement aller, soumise à la seule volonté des mains qui savonnent, qui rincent, et qui s’attardent dans ma chevelure. Le shampooing terminé, Nathalie m’aide à reprendre pied avec la réalité et me dirige vers son « coin ». Chez Tony, chaque coiffeur officie dans un box séparé des autres par de petites cloisons ajourées, égayées par une multitude de plantes vertes. Je m’installe sur le siège capitonné et après avoir donné les consignes nécessaires à Nathalie, je la laisse préparer ses instruments. J’en profite pour l’observer discrètement dans la glace. C’est une belle fille, assez grande, brune, avec des yeux très bleus qui constituent un attrait irrésistible lorsqu’elle vous regarde. Elle a du charme, renforcé d’ailleurs par une silhouette appétissante : sa poitrine tend son chemisier blanc, ses longues jambes sont habillées par un discret collant beige. Une robe noire assez courte complète le tableau.

Le bruit des ciseaux remplace bientôt le son de la radio qui joue en sourdine. Nathalie tourne autour de moi, les lames cliquettent dans mes oreilles. Soudain mon cœur s’accélère : elle est sur ma droite et par l’entrebâillement de son chemisier, j’aperçois la soie blanche d’un soutien-gorge et la forme galbée de son sein. Elle se penche davantage sur moi, concentrée sur une mèche récalcitrante, et dans le mouvement, l’auréole brune apparaît, offerte par le balconnet généreux. J’ai la bouche sèche, une boule au creux du ventre. Ma coiffeuse se rend compte de mon trouble. Elle se recule un peu, me sourit et, sans que je m’y attende, passe son index le long de ma joue. Son geste ne dure qu’une fraction de seconde et elle reprend son travail. Le temps de calmer un peu les battements de mon cœur, je me rends compte que j’ai vraiment envie d’elle, la moiteur que je ressens entre mes jambes est là pour m’en convaincre. Je me laisse aller contre le dossier du fauteuil, j’écarte les jambes et je ferme les yeux. Ma main droite part d’elle-même en avant et enserre la cuisse de Nathalie. Le contact de son collant me met en transe. Si elle doit refuser, c’est maintenant. J’attends mais rien ne se produit, elle continue la coupe, imperturbable. Je prends son silence pour un acquiescement. Je remonte le long de sa cuisse. Ma main rentre en contact avec sa peau : elle porte des bas ! Il ne m’en faut pas plus : j’ai du mal à retenir un gémissement et je me liquéfie. Mon dieu, comme je mouille !

Ma main atteint sa culotte et je me mets à masser son Mont de Vénus. Mes doigts impatients écartent le tissu et entrent en contact avec une pilosité légère très peu fournie. J’écarte ses lèvres et je la pénètre doucement, mes doigts serrés n’ayant aucun mal à écarter ses chairs humides.

Les ciseaux arrêtent leur cliquètement familier. Nathalie est immobile, la bouche entrouverte et la respiration oppressée. Je me vois dans le miroir, le bras engagée sous sa jupe, les jambes écartées, franchement obscène. Un coup d’œil à gauche et à droite me rassure, on ne peut pas nous voir. J’entame un mouvement de va et vient avec mes deux doigts tandis que mon pouce se fixe sur son clitoris qui saille dans sa conque nacrée. Nathalie s’appuie de plus en plus contre moi. Je distingue ses seins dans l’entrebâillement de son chemisier, leur pointe tend le tissu et n’attendent qu’une chose, que je les prenne délicatement entre mes lèvres. Soudain elle se raidit, laisse échapper un gémissement, couvert par la radio qui diffuse le dernier titre de Dido. La voix chaude de la chanteuse accompagne les soubresauts de Nathalie.

Une légère rougeur envahit ses joues. Elle reste silencieuse quelques secondes, reprend ses esprits puis me demande de la suivre en désignant le local du fond. Je me laisse conduire. C’est une petite pièce agréable, équipée d’une couchette qui occupe tout un côté, d’un fauteuil muni de tablettes qui me fait un peu penser à celui du dentiste, et d’une glace qui tapisse tout un pan de mur. Nathalie ferme la porte, me saisit par les bras et toujours sans rien dire, s’empare avidement de mes lèvres . C’est un baiser doux et chaud, sa langue s’enroule autour de la mienne, fouille ma bouche. Ses mains me débarrassent de la blouse bleue, palpent mon tailleur en lin, le relèvent et s’emparent de mes fesses qu’elles se mettent à pétrir.

Je ne reste pas inactive. J’ai envie de jouir, envie de la sentir nue contre moi. Je déboutonne à la hâte son corsage, et libère ses deux seins. Je saisis délicatement ses tétons et me mets à les pincer, appréciant leur soudaine raideur. Nathalie se cambre davantage et pousse son ventre contre le mien. Nos silhouettes enlacées se reflètent de façon incongrue dans le miroir. Je sens sa main entre mes jambes, ses doigts qui tâtonnent. Je me tortille pour l’aider, savourant à l’avance leur intromission dans ma chatte trempée. Soudain elle s’arrête. Elle se détache de moi, me repousse en arrière. Elle m’assoit dans le fauteuil. Je la regarde, interdite. Maintenant c’est elle qui mène la danse.

- Ecarte les jambes..

Elle m’aide à enlever ma culotte, et mes fesses rentrent en contact avec le cuir froid du fauteuil. Elle s’accroupit entre mes cuisses, sa tête à hauteur de mon sexe épilé. Je suis complètement offerte, à sa merci. Mes pieds prennent place dans des sortes d’étriers, je sens les lèvres de mon sexe qui s’écartent d’elles-mêmes. Son souffle chaud caresse ma peau et lorsque sa langue remonte sur toute la longueur de mon minou, j’ai beaucoup de mal à ne pas jouir tout de suite. Je jette un coup d’œil dans le miroir : ma coiffeuse est agenouillée, la tête dans mon entrejambe, sa jupe remontée sur son dos dans une attitude de femme soumise qui augmente encore plus mon excitation. Deux de ses doigts me pénètrent et se mettent à aller et venir dans mon vagin, ses lèvres se referment sur mon clitoris et je sens un troisième doigt forcer doucement l’anneau resserré de mes fesses. Je gémis. Mon orifice anal cède sous la poussée impérieuse et je suis envahie, complètement à sa merci. Je serre les accoudoirs de toutes mes forces, retardant le plus possible le déferlement du plaisir.

Soudain la porte s’ouvre et Tony rentre dans la pièce. Je me fige, morte de honte ! Pourtant il n’a pas l’air de s’offusquer du spectacle et Nathalie ne s’arrête pas , comme si elle savait que son patron ne dirait rien ! D’ailleurs il ne dit rien, savourant la scène qui s’offre à l ui. Il referme la porte, déboucle sa ceinture et sort son sexe qui se met instantanément à se dresser devant mes yeux. Sa main droite s’en empare et il se met à se masturber. Il a une bite courte mais massive. Malgré toute ma volonté, je ne peux pas résister à l’envie qui me taraude : je lui fais signe d’avancer. Il s’approche et me laisse s’emparer de son organe. Je le saisis entre mes deux mains et me mets à le caresser. Je suis hypnotisée par cette belle queue qui palpite sous mes yeux. Je me penche vers elle, la lape à petits coups de langue, soupesant les bourses gonflées. Je l’engloutis lentement, l’enserrant entre mes lèvres qui se distendent. Ma langue joue avec son bout turgescent. Tony enserre ma tête et accompagne mes mouvements.

Tout à coup, il s’arrache brusquement de ma bouche et se recule. Son sexe est énorme, congestionné. Il se place derrière son employée, écarte son slip, tâtonne et la pénètre en levrette sur toute la longueur de sa verge. Sous cet assaut inattendu, Nathalie arrête de me brouter le minou, tétanisée par les sensations. Tony n’en peut plus : il entame un va et vient qui se répercute dans tout le corps de ma coiffeuse. Sa jouissance est phénoménale : elle se met à hurler et dans un éclair de lucidité, j’espère qu’il n’y a plus personne dans le salon.

Nous reprenons lentement nos esprits. Nathalie se rhabille et retourne dans le salon de coiffure où une grand-mère somnole sous un casque. Tony est allongé sur la couchette. Il bande encore et j’ai bien envie d’en profiter. Je n’ai pas joui et je reste un peu sur ma faim. Lorsque je le reprends dans ma bouche, il ne dit rien, n’ouvre même pas les yeux. Pourtant sa queue réagit et sa consistance devient vite intéressante. Dès que je la juge suffisante, je me redresse, vire ma culotte d’un coup de talon, monte sur lui en écartant les jambes et me laisse lentement redescendre sur sa bite. Je m’empale à fond et me mets à remuer le long de cette tige palpitante qui vient buter sur mon clitoris à chaque aller retour. J’ouvre mon corsage et je m’empare de mes pointes de seins que je me mets à maltraiter. Le sexe masculin s’épanouit et grossit, et lorsque je me sens prête à l’accueillir dignement, je m’arrête. Tony ouvre les yeux, surpris de cet arrêt inattendu. Je me dégage, me tourne et lui offre ma croupe. Le bout de son sexe glisse dans ma raie humide et bute contre l’anneau de mon anus. Je m’appuie un court instant dessus et me laisse descendre sur ce pieu de chair. Mon anus se dilate et j’entame ma dernière chevauchée. J’adore me faire sodomiser. Un doigt sur mon clitoris et me voici partie au septième ciel. Je jouis sans aucune retenue en criant comme une folle.

Lorsque je quitte le salon de coiffure, il est plus de 18 h 00. J’ai des cernes sous les yeux, les cheveux coupés et le numéro de téléphone de Nathalie dans mon sac.
 

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