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Deux amis |
Deux amis Vous vous souvenez certainement de mon camarade de
cours Thibaud, dont je vous ai raconté le dépucelage dans une de mes précédentes
confessions. Tout avait commencé quand Thibaud m'avait demandé
de l'aider en math. J'avais accepté, bien entendu, et je n' avais pas changé
d'avis quand il avait été décidé que Thomas se joindrait à nous. Le jour de
notre première leçon je suis arrivée avec mon sac de livres, une petite jupe
plissée et un twin set. Le costume de la petite lycéenne sainte nitouche par
excellence. C'était une chambre d'ado typique, avec ses
posters de Nirvana au mur (oui, n'oublions pas l'époque :) ! )et son petit
bazar. Mes deux potes sont venus me faire la bise pour me dire bonjour. Depuis
des semaines je repoussais les petites tentatives d'approches de Thibaud, mais
lui accordais de temps à autre une petite gâterie, si je n'avais rien d'autre à
faire et si mon humeur le suggérait. "Doucement, mon garçon, on va déjà commencer par réviser un peu..." Je les ai regardés avec un air salace: "et si vous ne vous en tirez pas trop mal vous serez peut être récompensés." Thibaud avait l'air assez ambiancé par la
proposition. Thomas était plus réservé,et regardait ses pieds. Je me suis assise
entre eux deux surle lit, et nous avons étalé sur nos genoux livres et
classeurs. Je décidais de changer de technique. "A poil!" ai-je dit. Estomaqués, ils n'ont pas bougé. "Je vais vous donner des équations et le premier
qui a fini aura droit à une bonne pipe..." Une minute plus tard Thibaud était complêtement
nu. Thomas n'a pas tardé à l'imiter, et je me suis donc retrouvée en compagnie
de deux garçons nus, chacun bandant moyennement. Guillerette comme Mary Poppins, j'ai noté des
équations sur deux feuilles de papiers que je leur ai distribuées. J'ai enfoncé l'index et le majeur en moi, puis j'ai commencé à aller et venir tandis que de l'autre main je me caressais. J'ai écarté les cuisses au maximum, les calant sur les accoudoirs de la chaise. "Vos équations!" ai-je rappelé à l'ordre d'une voix bien chienne. J'avais l'impression d'être une héroïne de roman. Mon excitation était décuplée par l'idée que j'étais présentement matée par ces deux paires d'yeux ébahis. Soudain, Thomas s'est précipité vers moi et il est
tombé à genoux devant mon siège, agrippant mes cuisses dans ses mains fébriles.
Sans même me laisser le temps de réagir, il s'est mis à me lécher comme j'avais
été rarement léchée. Il s'en tirait vraiment bien, et quelques minutes
après j'ai été envahie par une violente envie de jouir. Thibaud n'en avait pas perdu une miette, et lorsqu'il a fait mine de s'approcher, je lui ai dit, prise d'une cruauté subite: "Elles sont finies tes équations?" Il a baissé la tête. "Non?" ai-e dit."Alors termine les!" Il est resté sans bouger, et j'en ai profité pour
relever Thomas. Une fois debout, sa queue était à la bonne hauteur pour que je
la suce. Il était moins bien membré que Thibaud, vu de près, mais semblait de ce
fait plus maniable. Je caressais ses couilles qu'il avait assez
petites et compactes, puis lâchant un instant sa queue je les ai prises dans ma
bouche, tout en le branlant en même temps. j'ai attrappé sa queue également, etje me suis
mise à les sucer tous les deux, alternativement. j'avais vu ça dans un film
porno un jour, en cachette de mes parents sur canal+, et j'avais trouvé ça très
excitant. La fille avait l'air de ne plus savoir ou donner de la tête. Et je me
rendais compte que je ressentais la même chose. Je suis restée un moment sans bouger sur la
chaise, les regardant. Tous deux étaient sur le lit, et m'observaient avec un
air de reconnaissan,ce melé à un appétit de recommencer assez
visible. Quelques minutes après, Thomas a recommencé à bander, et je me suis précipitée à nouveau sur sa queue, tandis que Thibaud me caressait maladroitement. J'avais la chatte en feu, et je commençais à avoir très envie d'etre baisée. Thomas n'a pas déçu les espoirs que j'avais mis en
lui, car bientôt il est venu se placer derrière moi tandis que je me mettais à
quattre pattes. Thibaud ne semblait pas vouloir faire autre chose que nous
regarder. Peu à peu il enfonçait son doigt, de plus en plus loin, en un va et viens de plus en plus rapide, et moi je gémissais de plaisir. Soudain il s'est penché vers moi et m'a murmuré: "tu t'es déjà faite sodomiser?" "non", ai-je soufflé en guise de réponse, "jamais, mais j'ai très envie de découvrir..." J'ai enfoncé mes propres doigts dans ma fente
chaude et humide, et de temps en temps je les resortais, pour toucher les siens
et sentir par moi même toute l'étrangeté de cette nouvelle situation. A ce moment, un coup frappé à la porte s'est distinctement fait entendre. Le coeur battant, nous nous sommes interrompus net dans nos mouvements. "oui?" a fait Thibaud d'un ton hésitant. A SUIVRE.....
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