Un carnaval princier
J'ai eu récemment l'occasion de partir passer
quelques jours dans un charmant petit pays d'Europe centrale, le Lichtingland,
dans lequel se déroulait un carnaval auquel quelques amis et moi avions très
envie d'assister. Le carnaval du Lichtingland, pour ceux qui ne connaissent
pas, est sans doute la fête la plus représentative de toutes les particularités
culturelles de ce petit pays peu connu: pendant 4 jours on peut danser sur de la
musique lichtinglösiche, faire les fous, se sustenter lorsque la faim commence à
se faire sentir avec la savoureuse cuisine du cru, et surtout participer au
grand bal clôturant cet évènement peu commun. Un bal assez spécial... En
raison d'un tourisme peu développé et d'une aura européenne assez déclinante, le
Lichtingland reçoit en général peu de visiteurs, même à l'occasion d'un
évènement aussi extraordinaire que le Carnaval. On peut donc avoir l'assurance
de s'y trouver dans un état de dépaysement appréciable, et c'était autant pour
cela que pour ses particularités intrinsèques que nous avions eu envie de
participer au Carnaval.
Munie d'une valise contenant entre autres un
costume de Catwoman, j'ai donc sauté dans la petite voiture de ma copine
Marie-Charlotte dite Charlie, et nous avons mis le cap vers le
Lichtingland. Après avoir roulé pendant quelques heures, nous sommes arrivées
à notre petit hôtel et nous avons décidé de nous reposer un peu avant de
ressortir faire la fête. Nous étions là pour 4 jours de folie et nous avions
bien l'intention de dormir le moins possible, mais pour cela, il convenait de
prendre les mesures préventives adéquates, notamment pour Charlie, qui avait
conduit tout le long du chemin. Elle a décidé de se reposer un moment tandis
que je sortais repérer un peu les lieux, et je me suis donc habillée en Catwoman
pour sortir inaperçue parmi la population bigarrée de Lichtinstadt.
Notre hôtel étant situé en centre-ville, je me
suis vite engagée sur une large avenue pleine de monde, d'où s'élevaient des
chants et des cris. On pouvait sentir mille fragrances appétissantes et très
vite j'ai commencé à dépenser mes sous pour goûter à diverses lichtinglösischen
spécialités, découvrant des saveurs inconnues et séduisantes.
Une fois rassasiée, j'ai décidé de quitter cette
avenue pour m'engager dans une plus petite ruelle sur la droite, qui semblait
monter en lacet vers les hauteurs de la ville (Lichtinstadt était à l'origine un
fort et a conservé de nombreux aspects parmi les plus frappants de son
architecture médiévale). J'ai croisé au passage des petits groupes de gens,
qui marchaient ou dansaient joyeusement autour de moi. Personne ne semblait pour
le moment se diriger vers le haut de la ville et j'avais la nette sensation de
marcher à contre-courant du mouvement général.
Soudain, alors que je marchais près d'une épaisse
muraille noire, un bras a semblé surgir de la pierre pour m'attraper. Une main
s'est posée sur ma taille tandis que l'autre s'agrippait à mon épaule,
m'attirant brusquement vers un corps masculin vêtu d'un costume
d'Arlequin.
"Vous êtes perdue Mademoiselle?" m'a demandé en
anglais une voix assez jeune et sexy.
"oh, no, no, dont worry..." ai-je répondu d'un air
détaché, tout en essayant de me dégager de cette étreinte qui à vrai dire
n'était pas si désagréable.
Je connaissais la vraie nature de ce carnaval, et
je savais que les points les plus importants de cette célébration étaient en
gros le plaisir et la luxure. Pendant 4 jours, sous la protection d'un masque ou
d'un costume plus ou moins élaboré, les habitants pouvaient laisser libre cours
à leurs pulsions les plus secrètes et les plus inavouables. Leur identité
n'était jamais révélée, et au terme du Carnaval chacun reprenait son existence
habituelle, comme si rien ne s'était passé. Mais mon Arlequin ne semblait
toutefois pas vouloir me quitter, et en posant une main sur son bras j'ai senti
sa chair souple tressaillir à mon contact. Il sentait bon, une étrange odeur de
paille séchée avec un léger fond musqué, et j'aimais le son de sa voix. Une voix
qui ne m'était pas totalement inconnue, par ailleurs. Déjà ses mains se
pressaient sur mes seins qui répondaient à cette caresse en durcissant
légèrement. Me plaquant contre lui, j'ai senti contre mes reins sa queue
imposante qui était déjà tout à fait dure. Etant donné que j'étais cachée sous
mon costume, j'en déduisais que cette bandaison était uniquement dédiée à la
Catwoman vêtue de cuir. Sans même me demander combien de femmes avaient
accompli ce geste avant moi durant ce même jour, j'ai glissé la main vers son
entrejambe et j'ai saisi sa queue dans ma paume. Elle était lisse de partout,
sans doute épilée, et très longue et dure. C'était plus qu'il ne m'en fallait
pour me faire oublier tout le reste: j'ai toujours eu beaucoup de mal à résister
à l'appel d'une belle queue dure et gorgée de sève.
A travers le cuir fin et moulant de ma
combinaison, mes tétons étaient bien durs et j'ai baissé la fermeture éclair de
mon vêtement pour en faire jaillir ma poitrine. J'ai pris mes seins dans mes
mains et je les ai pressés, sentant le désir monter en moi. Il a attrapé mes
tétons et les a pincés doucement, et je me suis cambrée au maximum pour suivre
son mouvement. Je me suis laissée tomber à genoux devant lui et j'ai entrepris
de le branler lentement, léchant son gland sans jamais le prendre entièrement
dans ma bouche. A ce moment j'ai senti quelqu'un approcher confusément
derrière moi, et de petites mains douces glisser sur mes flancs avant de se
croiser sur mon ventre et de remonter vers mes seins. J'ai tourné la tête et
j'ai vu une jeune femme habillée de bleu, dont le visage maquillé ne portait pas
de masque. Elle regardait l'homme avec un sourire complice, puis elle colla
sa bouche à ma peau et se mit à m'embrasser dans le cou avec une ardeur
communicative. Ses lèvres semblaient me brûler, sa langue courait sur moi comme
un petit serpent enjôleur, et ce baiser faisait naître en moi une envie de plus
en plus grande d'engloutir enfin l'énorme queue que je caressais dans ma bouche
avide et gourmande.
Levant les yeux vers mon mystérieux partenaire,
j'ai remarqué qu'il semblait prendre un intense plaisir au spectacle que la
jeune femme et moi lui offrions. je me suis alors abandonnée davantage, pour le
plaisir de lui montrer combien j'étais chaude à présent, combien j' étais
désireuse de faire pour lui et avec lui tout ce qu'il voudrait. Mais alors
que je glissais sa grosse bite luisante entre mes lèvres, il m'a attrapée par
les aisselles et m'a brusquement remise sur mes pieds. Sans que je comprenne
quoi que ce soit à ce qui se passait, il a ouvert une porte que je n'avais pas
encore remarquée dans l'épaisse muraille, et m'a rapidement propulsée derrière.
La jeune femme en bleu a suivi, et enfin l'Arlequin.
Nous nous sommes alors retrouvés dans un corridor
plutôt sombre, qui avait tout du couloir secret d'un quelconque palais ou
musée. Sans hésiter, la queue toujours à l'air et le précédant de sa dureté
arrogante, Arlequin s'est avancé dans le corridor d'une dizaine de mètres, puis
il a posé la main sur la poignée d'une autre porte, que je n'aurais pas
remarquée non plus si j'avais été seule, toute camouflée qu'elle était parmi les
décorations des murs.
Derrière cette porte se trouvait une assez grande
pièce, munie d'un nombre conséquent de fauteuils, de sofas et de
bergères. Contre le mur du fond se trouvait un petit lit à baldaquins,
recouvert d'une lourde tenture de velours. C'était tout à fait le genre
d'endroit dans lequel j'avais envie de me livre aux pires turpitudes, je
n'aurais certes pas pu mieux tomber.
Pendant ce temps, l'Arlequin et sa Colombine
d'azur n'étaient pas restés inactifs: la jeune femme avait commencé de sucer son
compagnon et lorsque, finissant mon inspection des lieux, je me suis à nouveau
tournée vers eux, elle était en train de le sucer langoureusement, d'un long
mouvement ample et profond. Ses lèvres étaient serrées autour du membre de
l'homme, et ses joues un peu creusées laissaient voir qu'elle exerçait une
succion conséquente à chaque fois qu'elle revenait au gland. Elle le laissait
parfois sortir de sa bouche presque complètement avant de l'engloutir à nouveau,
ou s'arrêtait au contraire au niveau du frein, gardant le gland bien au chaud
contre sa langue. Arlequin semblait apprécier ces fréquents changements de
rythme et gémissait de plaisir, caressant la tête de la jeune femme bleue avec
douceur.
Comme vous l'imaginez, cette vision ne me laissait
pas de marbre, et ouvrant mon costume non plus seulement jusqu'au dessous des
seins mais sur toute la longueur du zip, j'ai glissé une main dans ma culotte et
j'ai commencé à caresser ma chatte bien mouillée. J'avais les yeux rivés à la
bouche de la Colombine, à sa langue gourmande et ses lèvres pulpeuses qui
embrassaient et suçaient la queue de l'Arlequin. Ils semblaient très bien se
connaître, lui paraissait n'avoir jamais été mieux sucé, et finalement, à la vue
de son gland brillant de salive titillé par la langue de la fille, je n'ai pas
pu résister plus longtemps et m'approchant d'eux, je me suis jointe à elle,
léchant sa langue de la mienne, associant bientôt nos deux bouches pour lécher
et sucer l'Arlequin de la plus délicieuse façon. Elle léchait parfois mes
lèvres davantage que le sexe de l'Arlequin et s'interrompait un moment pour
m'embrasser, prenant mon visage entre ses mains, caressant mes joues de ses
paumes douces. Pendant ce temps je me caressais activement la chatte des deux
mains, massant mon clitoris de la main droite et mes petites lèvres de la
gauche, totalement oublieuse de toute notion de pudeur... J'étais si trempée
que mes doigts s'enfonçaient en moi sans difficulté aucune, il me semblait que
jamais la mouille n'arrêterait de couler tellement mon état était avancé. Je
perdais rapidement contrôle de moi-même et j'étais désormais prête à me livrer
aux pires débauches, mais il est vrai que d'une manière générale j'ai une
certaine tendance vers ces excentricités.
La Colombine suçait à présent les couilles de
l'Arlequin, qu'il avait de taille moyenne, bien rondes et fermes, tandis que je
lui suçais la queue avec toute la douceur dont j'étais capable. Parfois je me
reculais un instant de façon à pouvoir regarder la Colombine sucer une couille,
puis l'autre, les gobant toutes entières dans sa bouche avant de les laisser
aller et de les lécher de sa langue rose et bien dardée. Elle levait de temps à
autre des yeux malicieux vers l'homme, qui, la bouche entrouverte, laissait
échapper de longs gémissements.
Lui laissant toute la place, je me suis reculée et
je me suis placée derrière elle, relevant les différentes jupes de sa tenue
bleue jusqu'à découvrir ses fesses rondes et blanches. Lui écartant les cuisses
de mes mains, j'ai ensuite commencé à la lécher, plongeant ma langue dans son
minou trempé, puis je me suis mise à la doigter du majeur et de l'index tandis
que je lui léchais le clitoris avec plus de précision qu'avant, lui arrachant
des cris de plaisir qui ne faisaient que m'exciter davantage. Son minou était
l'un des plus jolis que j'aie vus, il ressemblait à une fleur marine rose et
moelleuse, humide et palpitante, et plus je glissais ma langue en ses recoins
les plus secrets et plus la Colombine criait, se tortillant sous mes caresses
comme si elle n'en avait jamais reçu de meilleure.
"Ho oui..." haleta-t-elle en anglais, "vas-y, je
veux sentir tes doigts dans ma chatte c'est si bon..."
Encouragée, j'ai ajouté mon annulaire à mes autres
doigts et, à présent bien serrée dans son fourreau brûlant, j'ai entrepris de la
limer consciencieusement, comme si je la ramonais avec une queue imaginaire, et
elle ne suçait plus son Arlequin à présent, mais s'abandonnait toute entière au
plaisir que je lui offrais en la caressant. Quant à l'homme, il semblait
apprécier grandement le spectacle et se branlait lui-même tout en nous
regardant. J'aime voir un homme se toucher, j'aime être témoin de ces moments
intimes et magiques où l'on observe quelqu'un se toucher comme il préfère être
touché, et j'aime tout particulièrement voir ses mains viriles câliner sa belle
queue dure qu'en d'autres occasion j'aime tant sucer.
A ce moment un bruit s'est fait entendre du côté
de la porte par laquelle nous étions entrés. Deux hommes en uniforme, faisant
partie si je ne me trompais pas de la garde royale, sont entrés dans la pièce
sans avoir l'air très choqués par le spectacle qu'ils avaient devant les yeux.
Je me suis immobilisée immédiatement. Ils portaient quelques fanfreluches à
leur casque mais c'était l'unique signe de leur connaissance du Carnaval, et ils
avaient l'air à la fois un peu gênés et assez amusés. Ils se sont inclinés
devant la jeune femme en bleu.
"Votre Altesse", les ai-je entendus dire d'un ton
respectueux en lichtinglösich (qui ressemblait pas mal à l'allemand pour
certains mots).
Colombine, sans répondre, s'est mise à
rire.
"Vous tombez bien, vous, justement, j'avais envie
de plus...." a-t-elle dit répondu tout en caressant la queue, toujours aussi
dure et imposante, d'Arlequin.
Les gardes ont eu l'air un peu gênés, et sont
restés sur place, gesticulant sans paraître comprendre.
A ce moment, l'Arlequin a pris la parole pour leur
demander d'écouter leur Altesse et de faire ce qu'on attendait d'eux. La
réaction ne s'est pas faite attendre:
"Votre Altesse Royale...", ont-ils répondu, se
mettant au garde à vous devant l'Arlequin.
Ebahie, je considérais la scène, alors que les
pièces du puzzle se mettaient soudain en place dans mon esprit.
"C'est le Carnaval", a dit Colombine en me
regardant d'un air coquin, "Chacun fait ce qui lui plait caché derrière son
masque pendant ces 4 jours!"
Il ne m'a pas fallu très longtemps pour ajouter
deux à deux et avoir une idée bien plus nette de l'identité de mes compagnons de
débauche. Je ne connaissais pas très bien la famille royale du Lichtingland
car ils étaient un peu moins exposés dans les journaux que leurs collègues
Windsor ou Grimaldi, mais je savais toutefois que le roi était un homme d'une
soixantaine d'années, muni de deux fils dont l'un devait probablement être cet
Arlequin qui se trouvait devant moi. Il avait également un frère qui avait
lui-même une descendance, ce qui expliquait aussi probablement le fait qu'on
donne du "Votre Altesse" à la jolie Colombine. Si j'en jugeais par ce que je
voyais, nos amis royaux faisaient ce qu'ils pouvaient pour correspondre aux
pires descriptions mérovingiennes de leur auguste caste: vice, inceste, débauche
et perversion semblait être leur lot.
Colombine, quant à elle, n'a pas tardé à prendre
les choses en main. Elle a ordonné aux gardes de se dévêtir, ce qu'ils ont fait,
rendus malhabiles à la fois par la stupeur et par l'excitation. L'un d'eux,
le plus jeune, était formidablement bien monté et son compagnon ne faisait pas
pitié non plus. Une fois nus, ils offraient un spectacle bien plus
impressionnant qu'habillés. Colombine s'est agenouillée devant eux et a
commencé à les sucer alternativement. Elle ouvrait grand la bouche, et enfonçait
loin dans sa gorge les grosses queues de ses gardes, tout en arborant un air
d'excitation très communicatif. Je me suis vite rendue compte qu'Arlequin
semblait éprouver beaucoup d'intérêt pour ce spectacle; il ne quittait pas sa
belle et perverse cousine des yeux et se caressait lentement des deux
mains.
Je me suis approchée de Colombine par l'arrière et
j'ai relevé très haut les tissus qui la recouvraient afin de dénuder ses belles
fesses larges et blanches. Elle n'avait pas un cul de princesse sportive qui
passe une moitié de son temps sur des skis et l'autre sur un cheval; au
contraire, elle semblait plutôt mener une vie assez inactive et peu fertile en
activités physiques. Ses fesses étaient peu musclées et plutôt grasses, et
évoquaient assez une peinture du 18ème siècle. Elles étaient curieusement
émouvantes dans leur imperfection, on avait envie de les pétrir à pleines mains,
de leur donner des fessées, de les embrasser ou bien tout cela à la fois. Je
l'ai légèrement faite pivoter afin qu'Arlequin ait la vue la plus directe
possible sur ce postérieur et j'ai commencé à la caresser lentement, sans
m'approcher de sa chatte tout d'abord. Je me suis mise à effleurer sa peau de
la main, de façon presque imperceptible, pendant plusieurs minutes. Elle suçait
toujours les deux gardes et remuait la croupe langoureusement, creusant le dos,
s'offrant toujours davantage. De temps en temps je la léchais, puis je
soufflais doucement sur sa peau ainsi mouillée, ce qui avait pour résultat de la
faire gémir et frissonner. Je recommençais ensuite à la caresser, toujours sur
le même rythme lent.
Tournant les yeux vers le Prince pour voir ce
qu'il en pensait j'ai pu voir qu'il se caressait toujours, mais qu'il avait
accordé son rythme au mien. Lorsque nos regards se sont croisés, il m'a
souri. Je me suis mise alors à donner de petites claques sur les fesses de la
Princesse, ce qui avait pour effet de les faire vibrer sérieusement. Sa peau a
rapidement rosi, et alors j'ai recommencé à la caresser comme auparavant, mais
cette fois sa peau rendue hypersensible par la petite fessée administrée
semblait lui offrir des sensations bien supérieures, et chacune de mes caresses
lui arrachait un gémissement de plaisir, ce qui ne me laissait pas moi-même
indifférente. Je savais que j'étais inondée de mouille, mais je préférais
repousser encore le moment de me toucher ou de me laisser toucher, cherchant à
atteindre mes dernières limites.
Ecartant les fesses de la Colombine, j'ai mis à nu
sa fente rose et trempée, toujours semblable à une fleur palpitante et affamée,
et je me suis mise à la lécher. Elle a immédiatement répondu à mes
stimulations par un halètement, de plus en plus soutenu au fur et à mesure que
je titillais son clitoris de façon plus précise, faisant avec ma langue des
cercles de plus en plus petits et appuyés. Jetant un oeil à son royal cousin,
j'ai pu constater qu'il semblait à présent bien proche de l'orgasme, ainsi que
celui des deux gardes dont la bite se trouvait présentement dans la bouche de ma
jeune amie. J'ai fait un clin d'oeil au dernier homme, qui devait se sentir
un peu désoeuvré, et d'un petit signe de tête je l'ai invité à
m'approcher. Je l'ai fait s'allonger sur le sol et il s'est glissé sous
Colombine, la queue à la main. Une fois qu'il a été parfaitement positionné pour
la pénétrer, j'ai l'ai saisi et j'ai placé son gros gland rose contre la vulve
trempée de la jeune femme, la caressant de ce gode improvisé pendant quelques
instants, sans quitter des yeux l'Arlequin qui expérimentait maintenant un
plaisir intense. Doucement j'ai invité le garde à la pénétrer et c'est ce
moment qu'a choisi l'autre pour jouir, sortant sa queue de la bouche de la
Colombine pour inonder son beau visage de son abondante semence. Je me suis
approchée de son visage et j'ai léché ses lèvres, puis je suis retournée à sa
chatte, observant avec fascination la grosse queue du garde qui entrait et
sortait de plus en plus vite. C'est alors que l'Arlequin s'est levé et est
venu se placer derrière elle, la queue droite et tendue devant lui et comme
prête à exploser. Il s'est placé sur son anus et l'a lentement forcé, ne
s'arrêtant que lorsqu'il y a eu logé son gland, puis après quelques secondes il
a recommencé à avancer jusqu'à s'être enfoncé jusqu'à la garde. Cette pensée
devait l'émouvoir à un point singulier car il n'a ensuite plus bougé, et
quelques secondes plus tard il a joui bruyamment, le corps traversé par les
spasmes de la jouissance.
Il s'est retiré doucement, et le garde a du
trouver sa liberté de mouvement soudain plus grande, car il s'est mis à pilonner
la princesse par en dessous avec énergie, faisant rapidement augmenter
l'intensité de ses cris. A les voir ainsi, j'étais emplie d'une excitation
diffuse, ma chatte irradiait de l'envie d'être prise, je contemplais les petites
lèvres roses de la princesse écartelées par la grosse queue qui la pénétrait et
rougies et gonflées par l'approche de l'orgasme, et je me caressais doucement en
songeant que si j'avais pu me transporter par miracle dans ma chambre d'hôtel,
sur mon lit, j'aurais pu me remémorer cette scène selon mon bon vouloir,
arranger les détails à mon goût, en être la scénariste plus que la
spectatrice.
J'ai décidé de m'éclipser à ce moment. Je ne
voulais pas savoir la suite, déjà j'avais envie que ces personnages soient les
miens et n'agissent que selon mon bon vouloir. Je préférais partir et réinventer
éternellement leur plaisir en corrélation avec le mien, à mon rythme et à mon
heure Sans un bruit, alors que l'attention de chacun se trouvait
mystérieusement aimanté vers Colombine, j'ai remis ma combinaison en place et
j'ai disparu en fumée.
Sacrée histoire.... Marie-Charlotte n'allait pas
en croire ses oreilles... Et j'allais certainement me branler de la plus
délicieuse façon avant de m'endormir... A condition que la soirée ne me réserve
pas d'autres activités!
Jane
A SUIVRE...
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