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Femme au vestiaire

Une femme au vestiaire

 
J'ai fait récemment un rêve très érotique. J'étais une journaliste très célèbre, mais une journaliste sportive, et cette renommée qui était la mienne venait du fait que je faisais toutes mes interviews à chaud, immédiatement après l'effort, dans les douches.( Oui, c'est vraiment un rêve...) Cette fois j'avais à voir une équipe de foot, une quinzaine d'hommes en comptant les remplaçants, et on m'avait prévenue que je ne devais surtout pas les faire attendre... Armée de mon petit dictaphone étanche, je me suis donc dirigée vers les vestiaires puis vers les douches.

J'étais habillée comme à mon habitude d'un petit imperméable en vynil noir, afin de me protéger de l' humidité ambiante. Mais en fait ce n'était pas tellement utile car en dessous je ne portais strictement rien. Je n'étais vêtue que d'une paire de sandales à talon, dont l'altitude me foprçait à cambrer les reins de façon marquée et à projeter ostensiblement mes seins en avant. Déjà, en m'approchant de la porte d'entrée des douches j'ai senti mon coeur battre plus vite: ça me faisait toujours cet effet, la vapeur et la chaleur ambiante m'amolissaient jusqu'à me donner envie de me frotter contre de gros nuages solides, souples et cotonneux...

Mon corps était moite sous le court imper noir, mes cheveux déjà collés à mon front par l'humidité. Je suis rentrée dans ces douches, et tous les sportifs se sont tournés vers moi, tous nus, tous trempés, tous beaux et musclés. A travers l'air opaque qui m'entourait j'ai pu voir qu'ils avaient tous un air sympathique sur le visage. Des visages jeunes et francs.

J'ai mis en marche mon dictaphone, et je l'ai suspendu à un crochet qui trainait là sur un mur, puis j'ai retiré mon imperméable, le laissant tomber à terre à mes pieds. Tous les hommes se sont approchés de moi, et je me suis bientôt retrouvée prisonnière d'une digue de corps chauds et frémissants; j'ai senti des mains innombrables se prommener sur moi, caresser mes fesses, mes seins, ma nuque, mon ventre, mes cuisses, ma chatte, tandis que des bouches avides se posaient ça et là sur ma peau! me faisant trembler de plaisir sous leur baisers. J'allais appartenir à ces hommes, me donner à cette masses masculine indistincte et indéfinie, et comme si je n'étais pas déjà assez trempée cette idée m'a remplie la chatte de mouille...

Je suis tombée à genoux, et comme par magie mes partenaires du jour se sont alignés, très soigneusement, me présentant tous leur queue à sucer. Elles étaient toutes différentes, et je me suis mise à lécher la première avec délectation. Grandes ou plus petites, épaisses, fines, très droites ou un peu courbes, avec un gros gland ou au contraire un plus petit, toutes ces bites avaient leur identité propre mais ce jour-là elles étaient toutes à moi. Je pouvais si je le désirais les sucer toutes, les accueillir dans chacun de mes orifices, les branler jusqu'à ce qu'un long jet de foutre blanc et crémeux jaillisse de leur auguste gland doux comme un fruit; elles étaient à moi.

J'avais avalé cette queue bien à fond, la sentant butter à chaque mouvement contre le fond de ma gorge, mais j'étais habituée à ce procédé et ça me faisait plus mouiller qu'autre chose. J'aimais sentir ma bouche bien remplie par une queue, mes lèvres écartelées autour d'une hampe, mes machoires bien ouvertes. J'aimais être prise à fond de partout.

Comme une enfant gâtée, j'ai laissé aller cette jolie bite hors de ma bouche, et tout en la branlant de la main gauche je me suis mise à sucer sa voisine. J'ai tout d'abord pris le gland dans ma bouche et je l'ai tété comme si c'était une petite sucette bien sucrée et bien juteuse, aspirant avec passion les sucs que j'en recueillais, puis je l'ai engloutie jusqu'à la garde, caressant ses couilles de ma main droite, les massant au même rythme que celui auquel je suçais. Contre toute attente, ce candidat devait être un peu impressionné, car rapidement il s'est mit à râler et il a joui dans ma bouche en deux ou trois mouvements saccadée, lâchant dans ma gorge quelques longs jets de sperme.

Très excitée, j'ai tout avalé et je me suis attaquée à son voisin, prenant ma troisième queue en bouche, léchant à un rythme endiablé ce membre que son propriétaire n'avait pas cessé de braanler auparavant tout en me regardant sucer ses camarades. Celle-ci était plus grosses que la précédente, et quand il l'enfonçait loin dans ma gorge j'avais presque la sensation que j'allais étouffer, mais rien ne l'arrêtait et il continuait à faire aller et venir sa queue dans ma bouche comme si il avait en train de baiser ma chatte bien trempée.

Pendant ce temps quelques uns des hommes qui se tenaient dans la file se déplacèrent et vinrent se placer derrière moi, et à ma droite, et à ma gauche. Ils se sont assis, ou mis à genoux. J'étais complêtement entourée par ces hommes qui tous étaient bien plus excités qu'il y a cinq minutes, et qui avaient envie manifestement d'autre chose que de rester debout à attendre leur tour.

Je sentais leurs mains qui caressaient mes cuisses, mes fesses, les écartaient, écartaient mes grandes lèvres et ouvraient ma chatte, puis quelques doigts s'y sont enfoncés tandis qu'une bouche s'est emparée de mon clito tout gonflé. La bite que je suçais me semblait devenir de plus en plus grosse, et je me sentais tellement bien, ainsi à genoux devant elle à l'avaler bien a fond, que je suis tout de suite devenue très receptive aux caresses qu'on me prodiguait de part et d'autre. Je me suis cambrée davantage, j'ai ouvert les cuisses un peu plus largement, je voulais que toutes ces mains et ces doigts continuent à fouiller mon intimité, je leur appartenais.

Les doigts qui me prenaient la chatte se sont mis à aller plus vite et la langue sur mon clito a accéléré de concert, et bientôt je me suis mise à gémir, comme je le pouvais car j'avais encore la bouche pleine... Sans doute échaudé par mes petits couinements étouffés, celui que j'étais en train de sucer a également augmenté sa cadence, et je pouvais entendre à son souffle rauque qu'il allait sans doute jouir très vite aussi. Il s'est mis à aller et venir sans délicatesse dans ma bouche gourmande, et être ainsi malmenée, ajouté aux caresses délicieuses qu'on faisait subir à ma chatte, m'a donné brusquement une intense envie de jouir. Au même moment, une grande quantité de sperme a giclé de l'imposant engin dans ma bouche, et cette sensation a encore intensifié mon propre orgasme.

J'ai pris appui sur mes deux mains pour me reposer un peu, mais déjà d'autres mains s'emparaient de moi. Dans un état second, j'avais encore assez de conscience pour voir que partout autour de moi ces hommes se branlaient plus ou moins activement, n'ayant pu résister au spectacle que je leur avais offert. Je savais que beaucoup d'entre eux restaient encore sur leur faim, et quant à moi j'avais encore envie de profiter de toutes ces belles bites bien dures.

Alors que j'étais ainsi à quatre pattes sur le carrelage bleu, un homme très bien monté s'est allongé sous moi, glissant souplement entre mes jambes jusqu'à ce que sa bite soit à la hauteur de ma vulve encore gonflée de désir. Je l'ai saisie doucement et je l'ai caressée un moment, puis je me suis caressé l'entre-jambe avec, faisant aller et venir son gland le long de ma fente humide, de mon clitoris à mon anus, répandant partout la cyprine dont ma fente était recouverte.

Je sentais confusément un homme qui venait se placer derrière moi, tandis que plusieurs autres se rapprochaient de mes côtés. J'ai enfoncé le membre que je tenais à la main dans ma chatte, savourant la légère résistance que je ressentais sur le passage d'un si gros engin, et quand il y a été introduit complêtement j'ai tout de suite commencé à me soulever et à me rabattre rapidement sur lui, gémissant de plaisir en sentant cette grosse queue aller et venir en moi. Je me touchais un peu les seins quand les mains de quelqu'un d'aurte n'étaient pas déjà posées dessus; ma tête remuait en tous sens tellement le plaisir auquel j'étais exposée était grand. J'ai pris une queue dans chacune de mes mains tandis que ma langue dardée se posaient sur une troisième, que j'ai entrepris de sucer activement au même rythme que celui auquel l'autre bite me baisait la chatte.

A ce moment un homme s'est placé juste derrière moi, et je pouvais sentir son souffle contre ma nuque. Il m'a très délicatement embrassé le cou, puis, d'un mouvement à la fois très lent et très implaccable, il a commencé à m'enculer. Je gemissais de plaisir à l'idée d'être ainsi bien remplie de tous côtés. L'homme s'est enfoncé peu à peu en moi, me laissant le temps de m'habituer à chaque fois, et à chaque cm gagné je sentais que je jubilais davantage. Bientôt il m'avait prise entièrement, ses couilles devaient être littéralement plaquées contre celles de l'autre homme, et son bassin venait se coller à mes fesses à chaque coup de queue.

Les deux hommes me baisaient alternativement: tandis que celui qui me prenait la chatte se retirait, l'autre s'enfonçait dans mon cul, et alors que doucement celui-ci se retirait à son tour, le premier me pénétrait à nouveau le vagin d'un mouvement violent.

Pendant ce temps je caressais toujours les deux bites que je tenais dans mes paumes, les branlant avec énergie, regrettant de n'avoir pas plus de bouches pour pouvoir elles aussi les engloutir, les lécher, les téter, avaler tout leur foutre. L'homme que je sucait appréciait apparemment le spectacle, il devait aimer se faire pomper ainsi par une fille qui avait présentement une queue dans la chatte et une dans le cul, car soudain il a enlevé son membre de ma bouche et a joui sur mon visage, projettant sur ma peau son sperme tout chaud.

Aussitôt j'ai pu le remplacer par un autre homme, qui se trouvait être encore mieux monté que tous les autres, et qui me forçait à écarter terriblement les machoires et les lèvres. Il s'est enfoncé lui aussi au fond de ma gorge, m'asphyxiant presque, sans avoir l'air de faire très attention à ma personne. Il tenait ma tête solidepment dans ses mains pour être bien sûr que je suive le mouvement, et remuait joyeusement les reins, envoyant à chaque fois sa queue bien profond dans ma gorge.

J'étais de plus en plus excitée, je sentais la mouille qui continuait de couler, et je gémissais comme je pouvais alors que j'avais la bouche pleine tout en branlant encore ceux qui passaient à ma portée. Mon excitation a encouragé mes deux niqueurs, qui se sont lâchés un peu et se sont mis à bien me défoncer la chatte et le cul. Je ne savais plus qui était qui, ou quoi, ou où; je n'étais plus qu'une boule de feu de plaisir et je voulais être prise encore plus fort, encore plus vite. Sentir ces grosses queues pénétrer loin en moi avec force me rendait folle de désir; je sentais que je ne tarderais pas à jouir, et en effet j'ai fini par jouir, en même temps que mes partenaires, réussissant presque à crier malgré la grosse queue que j'avais encore en bouche et qui bloquait toute tentative de parole.

Presque au même moment, ce dernier a giclé à son tour, et j'ai avalé gouluement, envoyant son foutre rejoindre ceux de ses collègues au fond de mon estomac... Les deux hommes qui m'avaient pénétrée se sont retirés et je suis restée un instant prostrée sur le carrelage bleu, jusqu'à ce qu'un coup de sifflet strident retentisse au loin.

"C'est l'entraineur, vous devez vite partir Mademoiselle", m'a appris précipitamment un de mes beaux éphèbes.

D'un bon je me suis relevée, j'ai remis mon imper et attrapé mon dictaphone, me préparant à quitter mes nouveaux amis.

"Soyez sans crainte, je reviendrai et il y en aura pour tout le monde", ai-je dit avec un clin d'oeil.

le sifflet retentissait toujours, il se rapprochait dangereusement...

....Et j'ai ouvert les yeux, confortablement allongée dans mon lit. J'avais la sensation d'être en feu. Doucement j'ai descendu la main jusqu'à mon entrejambe. J'étais littéralement trempée, mais il me semblait qu'après une telle nuit c'était la moindre des choses!

 

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