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Billet svp ! |
Billet svp ! Récemment j'ai entrepris de dresser une liste des
situations les plus scandaleuses que je connaisse, et qui mettent en scène des
flics, des contrôleur, et ce genre de personnages... Il y a de ça quelques temps donc, Caroline est un
jour arrivée à la gare Montparnasse avec l'intention de prendre un omnibus
d'après-midi pour se rendre en week end sur la côte ouest. Par flemme plus que
pour une raison pécuniaire, elle s'est dispensée d'acheter un billet et elle
s'est directement installée dans un wagon à compartiments, le style de voitures
qui semblent servir la SNCF depuis 70 ans. Tout était parfait jusqu'au moment ou un
contrôleur s'est profilé à l'horizon. Honnêtement, Caroline avait pensé qu'elle
était en sécurité: on était en plein milieu de l'après midi, le train étai quasi
désert... "Votre titre de transport,Mademoiselle?" a demandé le type avec son petit air le plus satisfait. Caroline a fait mine de chercher dans son sac à main mais l'autre n'a pas été dupe très longtemps. C'était le contrôleur typique, d'après ce qu'elle m'a raconté par la suite. Sans doute pas dans le métier depuis très longtemps, encore très impressionné par le "pouvoir" qu'il confère. Et ayant envie d'en profiter un tout petit peu plus souvent qu'à son tour. Caroline, tout de suite très aguichée par la
situation, n'a pas pu s'empêcher de se demander comment le mec réagirait si elle
lui faisait quelques propositions malhonnêtes. "je vous en supplie, je ferai ce que vous
voudrez..." Apparemment il s'énervait rapidement, et Caroline avait presque l'impression qu'il perdait la maitrise de lui-même. "Si j'étais un homme, je ne pourrais pas essayer
de me faire pardonner de la même façon", a t'elle dit d'un air candide, sans
paraitre prendre au sérieux la prétendue colère de l'autre. "Vraiment?" a dit le contrôleur d'un ton brusque. Il a baissé les stores du compartiment, puis il a saisi Caroline par la nuque, d'un geste tout aussi brusque. "Tu vas te deshabiller, pour commencer, chienne.
Je vais voir si tu es assez bien pour prétendre voyager à l'oeil dans MON
train..." Ahuri devant ce spectacle inattendu (ça devait être la première fois que ça lui arrivait), le leur s'était laissé tomber sur une banquette, sans quitter Caroline des yeux. Décidant de continuer son rôle de mâle viril, il a sorti sa queue de son pantalon, et a commencé à se branler, tout en disant: "ah oui, je crois que je n'avais encore jamais
croisé une salope comme toi..." "Touche toi, montre moi comment tu te touches pour
commencer..." a t'il ordonné, tout en continuant à se toucher lui-même (il était
vraiment bien monté) "Enfonce tes doigts dans ta chatte, je veux te voir te branler" a commandé le type. Sans hésiter, Caroline a obtempéré, caressant doucement son clitoris déjà bien gonflé puis titillant du bout de l'index l'entrée de son vagin. Elle a commencé par se pénétrer de l'index, puis elle y a ajouté le majeur, et bientôt de ces deux doigts elle était en train de se rammoner joyeusement. La position qu'elle avait adoptée, assise les jambes largement relevées, l'excitait encore plus, elle avait envie de sentir des mains viriles, chaudes et caleuses appuyer sur ses mollets et les contraindre davantage encore en arrière. Tandis qu'elle se doigtait ainsi, elle ne quittait pas son partenaire des yeux et elle se léchait lascivement les lèvres, prommenant son petit bout de langue rose sur sa bouche pulpeuse, appelant le baiser, voire même peut-être appelant la pipe... Elle se doigtait toujours la chatte de la main
gauche et s'était mise à se caresser le clito de la droite, se faisant tellement
plaisir qu'elle ne pensait pas pouvoir se retenir de jouir très
longtemps. Sans répondre, l'homme s'est levé d'un seul bond
et est venu lui poser sa queue sur les lèvres. Sans se faire prier, Caroline a
avalé d'abord le gland, l'a léché, titilé du bout de sa langue durcie, en a
carressé le frein tout en savourant les petits mouvements involontaires qu'elle
lui procurait. Décidant finalement de se sacrifier pour la beauté
du geste, elle a arrêté de se toucher pour masser les couilles du mec, d'un
geste diaboliquement approprié à la question. Caro était vraiment heureuse, elle aimait les étalons à grosse bite plus que tout. Attrappant brusquement toute cette bite dans sa
bouche, elle s'est mise à la pomper avec enthousiasme, s'extasiant de chaque
petite goutte de foutre qui s'échappait, de chaque soubresaut, de chaque
gémissement. Très excitée par cette perspective, elle a
recommencé à se toucher, sentant ses doigts déclencher une véritable tempête
dans son bas ventre. Le contrôleur s'est mis à haleter et soudain il a sorti sa bite de l'écrin qui la renfermait. Il s'est aggrippé les couilles de la main d'un geste convulsif, et de sa queue est sorti un long jet de foutre, puis un autre, puis un autre encore, qui tous ont fini sur le visage de Caroline, qui dans le même temps avait repris ses jeux de mains et s'était ammenée au bord de la jouissance. Elle a explosé au moment où elle recevait ce sperme inconnu sur le visage, se mordant la lèvre pour ne pas crier, enfonçant une dernière fois ses doigts au plus profond d'elle même. Elle a passé sa main sur son visage et puis elle a
léché ses doigts, l'air complêtement dans les vappes. "Vous feriez mieux de vous rhabiller
mademoiselle", a t-il dit."Pour votre titre de transport, je crois qu'on peut
passer pour cette fois..." Jusqu'à la prochaine fois... Elle s'est rhabillée et a feuilleté un magazine
jusqu'à sa station. Elle avait vraiment bien joui, m'a t'elle dit plus
tard.
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