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Carnaval princier 2

 Un carnaval princier (2)

 Lorsque j'ai rejoint la chambre où Charlie et moi étions installées, il était déjà assez tard et ma copine était en train de se réveiller, apparemment bien reposée de ses heures de conduite par son petit somme. Elle s'est étirée lentement et m'a observée tandis que je commençais à me déshabiller pour aller me laver. Son regard était malicieux.

"Toi, tu n'as pas perdu ton temps pendant que je reprenais du poil de la bête", a-t-elle fait remarquer d'un ton pétillant.

J'ai souris d'un air entendu:

"'Je n'allais pas rester à te mater dormir pendant trois heures!" ai-je rétorqué. "Et je me suis bien amusée, j'ai pris... comment dire... la température du carnaval, et je crois qu'on va bien s'amuser! Viens avec moi dans la salle de bain, que je te raconte pendant que je prends un bain!"

Charlie s'est levée du lit, a été extirper son portable du sac ou il gisait et s'est mise à lire les quelques messages qu'on lui avait envoyés.
J'ai vu son visage s'éclairer.

"Je nous ai trouvé quelque chose de sympa à faire pour ce soir", a-t-elle dit.

Puis elle m'a suivie alors que j'allais faire couler l'eau.

"Vas-y, raconte-moi ce qu'on va faire de super ce soir!" ai-je demandé avec enthousiasme, remettant mes propres révélations à plus tard. Sans attendre que la baignoire soit pleine je me suis assise dedans, laissant l'eau s'écouler sur mes épaules et mon dos, savourant ce contact brûlant et fluide.
Ah..... Il y a dans la vie des plaisirs si simple et si puissants!

"Je suis conviée par une connaissance à une petite sauterie", a expliqué Charlie, "et je suis certaine que tu vas adorer. Ce type a les installations les plus avant-gardistes, tu entres dans son salon et tu te croirais dans un sex-shop du futur!"

Son visage s'est alors orné d'une expression de conspiratrice:

"Tu ne devineras jamais.... il s'agit ni plus ni moins du prince héritier du Lichtingland!"

Je n'ai pas pu m'empêcher de sourire.

"Pas possible!!" me suis-je exclamée.

Je me suis alors remise à penser à ce que j'étais en train de faire une ou deux heures plus tôt, et j'ai senti les petites lèvres de ma chatte gonfler de plaisir et mon clito devenir bien dur, réclamant une caresse avec fureur.
J'ai lentement fait glisser ma main entre mes cuisses, sans quitter Charlie des yeux. Elle s'est approchée. Ecartant mes lèvres j'ai mis à nu ma vulve toute rose et pleine de cyprine.

"Et toi qu'as-tu fait de beau pendant ce temps?" a demandé Charlie d'un ton complice.

"Oh.... Rien de spécial, du sexe...." ai-je répondu d'un ton lascif. "D'ailleurs, rien que d'y repenser..."

Charlie s'est approchée très près et s'est mise à me toucher elle aussi. Elle savait ce que j'aimais. Elle m'a enfoncé doucement quelques doigts dans la chatte tandis que je me branlais et a commencé à aller et venir en m'écartelant bien. Je sentais la mouille qui coulait, je me sentais bien prise, et j'ai écarté les cuisses pour lui montrer ma chatte gourmande.
Je jouissais encore davantage d'être vue d'aussi près, et j'avais encore la tête si pleine des évènements de la soirée que je savais que l'orgasme viendrait très vite. Je n'avais même pas besoin de rêver à ce que j'allais être en train de faire d'ici une heure ou deux.
J'ai joui en serrant la main de Charlie contre moi, ses doigts profondément enfoncés en moi, puis je l'ai laissée aller. Elle a léché ses doigts un à un en me regardant dans les yeux.

"Allez, c'est le moment de s'activer", a-t-elle dit d'un ton énergique. "Prépare-toi! Nous avons RDV dans une heure."

J'étais je l'avoue d'humeur un peu molle, mais j'ai réussi à me préparer en près de vingt minutes. Pendant que je m'habillais Charlie a pris une douche froide. C'était le genre de choses, plutôt rares, qu'elle aimait faire et qui me rendait folle... de terreur.

Nous nous sommes toutes deux habillées de jolies robes pas très longues et assez près du corps, et nous avons sauté dans la voiture de Charlie. Elle semblait connaître très bien le chemin de l'étrange lieu de notre RDV car elle n'a guère regardé le plan que je tenais étalé sur mes genoux.
Quelle que puisse être notre destination, ce n'était probablement pas sa première visite.

Nous sommes sorties de la ville et n'avons pas tardé à nous retrouver en rase campagne. Sans se troubler, Charlie a emprunté les petites routes les plus invraisemblables et nous avons fini par arriver à un petit hameau d'une quinzaine de maisons qui se trouvait au bord d'une forêt.
Spectacle évocateur entre tous.
Charlie s'est finalement garée devant une autre maison, très isolée de ses compagnes, à moitié cachée par l'orée du bois. Le jardin ne semblait pas en être très bien entretenu, mais de la fumée sortait de la cheminée. L'endroit paraissait agréable et confortable.

Charlie a frappé et aussitôt des pas se sont rapprochés de nous de l'autre côté de la porte. Je savais déjà qui j'allais trouver à l'intérieur, mais je ne m'attendais pas à ce que ce même jeune homme joue les portiers.
Quand le Prince du Lichtingland est apparu Charlie s'est jetée à son cou. Ils riaient beaucoup tous les deux et avaient l'air de bien se connaître. J'ai brusquement réalisé que le prince avait sans doute quelques années de moins que nous, et qu'il avait très bien pu découvrir certains aspects du sexe avec les films de Charlie.

Puis il m'a vue. Il ne lui a pas fallu longtemps pour reconnaître la jeune personne qui le suçait à peine quelques heures plus tôt.

Alors qu'un air de stupéfaction s'inscrivait sur son visage je lui ai discrètement fait signe de se taire et de garder notre secret pour nous. Il s'est contenté de sourire largement et de faire un compliment à Charlie sur le charme de ses copines....

"Oui, quand j'ai reçu ton message je me suis dit que puisque je n'étais pas seule je pouvais venir te rendre visite avec une jolie fille, d'autant qu'elle avait vraiment le feu au cul et que je me suis dit que je pouvais certainement faire quelque chose pour elle!", a rétorqué Charlie avec un large sourire, ignorant ce que la situation avait de drôle.

"Charlie m'a dit que ton salon ressemblait à un sex-shop du futur ou à quelque chose comme ça", ai-je dit au Prince pour changer de sujet. "J'ai bien envie de voir ça, j'adore les sex-shops et je ne déteste pas le concept de futur..."

Je me suis approchée du jeune homme par la gauche et je lui ai passé un bras autour de la taille. Charlie a fait de même par la droite et nous nous sommes acheminés vers le théâtre des opérations.
Cette petite maison était très trompeuse, car si de l'extérieur elle avait l'air plutôt exiguê elle contenait finalement des pièces au volume très étonnant, dont l'entrée toute tendue de velours rouge que nous avons traversée n'était que le premier exemple.
Alors que nous marchions je sentais la main du prince qui s'égarait vers mes fesses, et sans doute vers celles de Charlie également. Ce contact, à la fois familier et étonnant, me remettait en mémoire les scènes les plus excitantes de ce début de soirée, et je sentais à nouveau ma chatte se remplir de mouille.
J'ai serré les cuisses l'une contre l'autre.

Nous ne nous sommes pas arrêtés devant la première porte qui, grande ouverte, révélait un salon cossu, et c'est devant la seconde que le prince m'a retenue par un bras tandis que Charlie tournait lentement la poignée, un air de délice sur le visage et se pourléchant les babines de sa langue rose.
J'avais vu beaucoup de choses dans ma vie, j'avais été dans bien des endroits étranges et mystérieux, mais rien ne me préparait au spectacle qui s'est étalé devant mes yeux lorsque la porte s'est trouvée totalement ouverte.
La pièce était presque totalement décorée de miroirs, aux divers murs et au plafond, et des objets tous plus bizarres les uns que les autres parsemaient le sol.
A première vue, il me semblait que c'était là des sièges, ou des appareils de gymnastique plutôt originaux.
Je n'allais pas tarder à remarquer qu'il n'en était rien.

Les quelques rares meubles avaient aussi leur lot de décorations: godes et divers autres gadgets sexuels étaient posés un peu partout.
Ce dernier détail me paraissait familier, mais j'étais assez fascinée par les étranges machines auxquelles je n'avais toujours pas trouvé d'appellation valable.

"Regarde Charlie", a dit le Prince en désignant l'une des installations, "c'est la dernière que j'ai réalisée, elle permet une double pénétration et quatre vitesses différentes. Les deux vibros sont indépendants l'un de l'autre..."

Pendant cette explication il a versé un peu de cognac dans trois petits verres, puis m'en a apporté un avant d'en donner un autre à Marie-Charlotte, qui tâtait les godes de l'étrange machine avec un air admiratif.
Quant à moi j'avais à présent une idée plus précise des objets qui se trouvaient devant moi; à savoir cinq "sièges-baiseurs" munis chacun de leur mécanisme, de leurs vibros de tailles diverses et de leur forme propre.

"Tu peux les examiner de plus près si tu veux", a dit Charlie en s'installant sur les genoux du Prince.

Tandis que j'approchais de la première machine elle m'a expliqué que son camarade royal, très féru de sexe et de mécanique, avait fabriquées lui -même ces machines, et qu'elle l' avait elle-même aidé à construire la première.
Elle se déshabillait au fur et à mesure de son récit, et bientôt elle était nue dans les bras de son complice, qui lui caressait les seins et les fesses en l'embrassant à pleine bouche. Ces deux-là avaient l'air de bien se connaître et moi j'avais hâte de faire un peu mieux connaissance avec les robots-fuckers.
Je me prenais à penser que ça pourrait être extrêmement pratique d'en avoir un à la maison, pour les cas où je serais trop excitée pour dormir et trop fatiguée pour sortir en boite.
L'image du prince - actuellement occupé à peloter Charlie qui, ne voulant pas être en reste, avait subrepticement sorti la queue de son compagnon pour la caresser, queue qui, à en juger par sa dureté et ce que je savais de ses activités de la journée, avait une certaine endurance - l'image du prince donc, tel qu'il m'était apparu avec sa sensuelle cousine plus tôt dans la journée, m'a envahie et m'a plongée dans une rêverie langoureuse, augmentée des diverses images que faisait naître en moi la vision des appareils.

Le premier d'entre eux était un fauteuil à l'aspect plutôt confortable, dans lequel il convenait presque de s'allonger. Un gros vibro était fixé sur le siège, bien large et orné de petits picots, d'une couleur rose pâle qui donnait très envie de s'empaler dessus.
L'angle selon il était fixe au siège indiquait la position qu'il fallait adopter pour s'assoir, et sur le dossier se trouvait une étrange petite boite de contrôle qui permettait sans doute de changer les vitesses.
Un autre permettait de s'installer en levrette, et ce que j'avais pris pour un siège était en fait un endroit ou poser les coudes. Deux godes étaient fixés à l'arrière de l'engin, et cette vision n'était pas faite pour me calmer.

Charlie et son complice se sont approchés de moi. Charlie s'est mise à m'embrasser à pleine bouche, caressant mon dos, mes fesses, mes seins. Je la caressais également, et le Prince se branlait en nous regardant.

"Tu as bien fait de m'amener ici", ai-je dit à mon amie d'un ton langoureux. "J'ai toujours rêvé de tester une de ces machines... rien que de les voir, j'ai trop envie..."

"Je t'ai amenée avec moi parce que je savais que tu adorerais ça... regarde!" a dit Charlie.

Elle s'est installée sur la machine à levrette, se mettant d'abord à genoux sur la petite plateforme avant de reculer lentement pour caler les deux vibros sur ses orifices palpitants.
Le Prince se caressait toujours, et à le voir je me demandais de plus en plus ce qui arriverait le jour où ce garçon hériterait de son père la charge du pays...
Enfin ça ne me regardait pas.
Prenant les choses en main, j'ai guidé le premier vibro vers la chatte ruisselante de Charlie: écartant ses petites lèvres toutes lisses j'ai mis à nu sa vulve rouge et son clito gonflé de plaisir.
Le Prince s'est approché, la queue toujours à la main, en me penchant un peu je pouvais la lécher du bout de la langue tandis que je doigtais la chatte de Charlie.
D'un seul coup celle-ci s'est brusquement reculée et s'est enfoncé une dizaine de centimètres du gode.
Cette vision m'a émue. J'ai tendu le cou et j'ai englouti la queue du jeune homme jusqu'à la garde.

Celui-ci a basculé un petit bouton sur le côté de la machine, et j'ai assisté à l'un des spectacles les plus chauds que je puisse imaginer: toute métallique qu'elle soit cette machine imitait plutôt bien le mouvement d'un homme qui baiserait une femme à quatre pattes, avec un petit côté "imperturbable" en plus: le gode rose à picots s'enfonçait dans les chairs de Charlie puis en sortait puis s'enfonçait encore, tout humide et luisant de mouille (car Charlie faisait partie de ces filles qui mouillent beaucoup quand elles sont bien excitées); il suivait un mouvement régulier et puissant, qui ne s'arrêterait pas tant que quelqu'un n'appuierait pas sur le petit bouton magique.
Charlie se cambrait de plaisir, gémissait et haletait. Elle semblait vraiment apprécier le voyage. Le prince est venu se placer devant elle et elle l'a sucé, l'amenant à l'orgasme étonnamment vite en léchant alternativement son gland et ses couilles bien gonflées. Elle le regardait aussi avec un sourire salace, son sourire d'actrice de porno qu'elle avait appris et perfectionné au fil des tournages et des années.
Ca avait l'air de marcher encore très bien: peu d'hommes résistaient à une fille qui vous souriait en vous regardant dans les yeux tout en vous bouffant les couilles.

Alors qu'il s'apprêtait - je le voyais à son visage - à lui jouir dans la bouche ( et avec plaisir, encore!), j'ai pris l'autre gode dans la main, et j'ai entrepris de le guider jusqu'au cul de Charlie. Ce vibro était différent du premier, car lisse et d'un diamètre un peu inférieur, et avant de pénétrer mon amie avec j'ai d'abord entrepris de la caresser pour l'ouvrir un peu.
J'ai glissé mes doigts jusqu'à sa vulve bien remplie par le premier gode et je les ai passés le long de ses petites lèvres jusqu'à ce qu'ils soient bien badigeonnés de cyprine puis lentement je suis retournée vers son anus que j'ai bien lubrifié avant d'y enfoncer l'index.
J'ai effectué quelques aller-retour avant de retirer mon doigt et de le remplacer par le second gode, la pénétrant doucement, centimètre par centimètre. Lorsque j'ai commencé à prendre Charlie avec elle a crié de plaisir, et bientôt c'est par deux grosses queues de plastique qu'elle se faisait défoncer en rythme.
C'est à ce moment que le prince a éjaculé, poussant un gémissement qui devait bientôt être couvert par ceux de Charlie, terrassée par un orgasme puissant. Le spectacle, autant visuel que sonore, que venaient de m'offrir mes deux compères, m'avait placée dans un état très particulier: j'étais excitée comme jamais mais je souhaitais encore que cet état monte en intensité.
Pour une fois, je ne voulais pas satisfaire immédiatement mes instincts.
Je sentais que je pouvais aller plus loin encore.

Alors que Charlie se relevait de son étrange machine à baiser, retirant doucement les godes de ses deux trous, elle a regardé son pote le Prince qui semblait aux anges.

"Pas mal, cette nouvelle machine", a-t-elle remarqué. "Je crois même qu'il doit y avoir moyen de faire de très belles photos avec... Ou même de bons films..."

Entendant ces mots j'ai tout de suite été frappée par l'inspiration... je voyais des cadrages, de éclairages et des corps mélangés à d'étranges machines, des orifices fouaillés par de gros sexes métalliques ou plastiques...

"J'ai quelques idées" ai-je laissé tomber...

"je n'en attendais pas moins de toi!" a rétorqué Charlie en riant.

"Dînons, et puis ensuite on verra ce qu'on peut faire..." a suggéré le Prince."J'ai quelques idées de mise en scène pour vous deux et plus particulièrement pour toi" a-t-il ajouté en me regardant dans les yeux.

J'ai senti mon estomac s'agiter en même temps que mon bas-ventre... On n'allait pas tarder à passer aux choses sérieuses!
En vérité l'une des expériences les plus hot de ma vie était à venir, et je ne le savais pas encore à ce moment-là.

A SUIVRE

 

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