Un superbe chantier
La société à laquelle j'ai le plaisir d'appartenir
a récemment déménagé et nous nous sommes installés dans un superbe endroit,
large et spacieux qui procure à chacun ici une amélioration des conditions de
travail, dont votre aimable servante n'est pas la dernière à profiter! Entre
autres, la succession de petits recoins, de petites pièces, de renfoncements et
d'escaliers dérobés tient parfois plus du château des Tuileries que d'un
building professionnel traditionnel, et offre bien des cachettes que notre
ancien établissement n'aurait su nous proposer. Lorsque nous nous sommes
installés les travaux n'étaient pas tout à fait terminés et la place était
encore pleine d'ouvriers, de pots de peinture, de plâtre, d'escabeaux; et cette
double activité donnait à l'endroit en général une atmosphère effervescente qui
ne se calmait que le soir, quand l'immeuble peu à peu se vidait de ses occupants
diurnes. Tous ces hommes ne demeuraient guère de marbre quand ils me voyaient
passer devant eux ; mes longs cheveux blonds que je prenais de plus en plus
rarement la peine d'attacher en chignon, ma coupe qui se balançait
langoureusement à chaque pas ou encore mon opulente poitrine leur faisaient un
certain effet, et je ne restais pas sans remarquer leurs oeillades prononcées ou
leur sifflements sur mon passage.
Au bout de quelques jours, j'ai remarqué un nouvel
ouvrier. Ca devait être un intérimaire car il ne semblait pas franchement
connaître son job à fond, et il était jeune, bien bâti, pas très élégant dans sa
salopette blanche mais avec un petit faux-air du chanteur de Pavement qui
m'attirait l'oeil, un visage en lame de couteau et un regard pétillant qui
appelaient le dialogue. Je lui disais bonjour lorsque je passais devant lui,
sans plus, et il me répondait de la même façon, sans même un sourire, jusqu'au
jour où je me suis arrêtée pour lui proposer une tasse de café. Je m'apprêtais à
en faire pour moi, j'allais de toute façon repasser devant lui avec ma tasse à
la main, et j'ai songé que ça pourrait lui faire plaisir .
Le lendemain, je me suis rendue compte qu'on
l'avait chargé de repeindre un petit escalier, qui menait comme par hasard juste
derrière mon bureau. Je me suis mise à l'utiliser sans raison, et j'étais
obligée de le frôler parfois au passage car l'endroit était étroit. A un
moment donné son pinceau m'a effleuré la tête, laissant sans doute une trace
blanche dans mes cheveux. D'un air gêné, il m'a aussitôt proposé un peu de
white-spirit pour que je puisse me nettoyer, et je lui ai demandé s'il ne
pouvait pas le faire lui-même - arguant de la difficulté que j'aurais à voir la
tache sur ma propre tête.
"- Allons devant un miroir", ai-je suggéré, l'air
de ne pas y toucher, "il y en a un pas loin, et il y a plus de
lumière..."
Enchanté d'accepter cette proposition mon peintre
a posé ses affaires et a été chercher du white-spirit dans le tas de bocaux et
de seaux que les ouvriers stockaient dans un coin du hall, puis il m'a suivie
vers les sanitaires. Nous nous sommes postés devant la glace et je me suis
tournée pour bien lui montrer mes cheveux peinturlurés. Précautionneusement, il
s'est mis à les tamponner avec un sopalin imbibé de produit. J'ai rapidement
senti l'odeur me monter à la tête. Derrière, je pouvais sentir celle du jeune
homme, une légère odeur de sueur mêlée à une autre plus prononcée de fumée de
cigarette et d'eau de toilette avec en fond quelque chose qui me rappelait du
thé. C'était plutôt étrange comme mix et ma respiration s'est faite plus
lourde.
J'ai pris conscience de l'étrangeté de la
situation et de son caractère excitant aussi; le jeune homme avait la main
plutôt douce en frottant mes cheveux, dont il tenait la masse de l'autre main,
et il se tenait très près de moi. C'était comme si une lente alchimie se
créait entre nous au fur et à mesure que nos molécules s'apprivoisaient, et
soudain je l'ai senti soulever ma chevelure et déposer un baiser sur mon cou, un
vrai, un baiser brûlant qui commence doucement et qui peu à peu irradie tout mon
corps. Ses lèvres chaudes et humides me donnaient envie, et j'ai pris ses mains
pleines de peinture et je les ai plaquées sur mon chemisier, sans même penser
aux marques qu'elles pourraient laisser. Mes tétons se sont durcis tout à
coup.
Prenant l'initiative, le peintre a entrouvert une
porte qui se trouvait juste à côté du lavabo. Il a constaté qu'il s'agissait de
toilettes, plutôt exiguës de surcroît, mais ça ne l'a pas arrêté. Attrapant mon
bras il m'y a entraînée, et après avoir lutté contre un instinct qui
m'interdisait de considérer un tel endroit comme pouvant décemment servir de
cadre à des cochonneries je m'y suis engouffrée à sa suite puis j'ai verrouillé
la porte. Je me suis plaquée contre lui, de dos, parce que je voulais sentir
sa queue dure contre mes reins, et aussi parce que je voulais qu'il m'embrasse
encore dans le cou. Si peu d'hommes savent le faire comme je l'aime, avec
suffisamment de lenteur et de perversité pour me faire tremper ma petite culotte
sans même m'effleurer le minou... Ce garçon ne s'en tirait pas trop mal, dans
son genre.
Il a passé les mains sous mon chemisier et a
recommencé à me caresser la poitrine, pinçant légèrement mes tétons avant de
prendre mes seins dans ses paumes et de les malaxer doucement, puis les
effleurant à peine .... Au moins il savait varier les plaisirs et n'était pas
comme ces barges qui confondent un sein avec une balle anti-stress. Je me
laissais aller, laissant le plaisir envahir tout mon corps, et je sentais que sa
queue - déjà appréciablement rigide - devenait absolument impressionnante de
dureté dans le bas de mon dos.
J'ai glissé une main derrière moi et j'ai commencé
à la caresser à travers la salopette blanche, avide de la sortir de son pantalon
et d'en toucher la peau douce. Mais il avait clairement décidé de prendre le
choses en main... Abandonnant mes seins il a remonté ma jupe le long de mes
cuisses avant de descendre ma culotte et de commencer à me caresser le clito,
j'étais déjà bien trempée et j'avais très envie d'être bien défoncée, de sentir
un gros membre palpitant s'enfoncer en moi, jusqu'à la garde. Mais il n'en
avait pas décidé ainsi, et au contraire m'a faite m'adosser à l'un des murs. Il
a écarté mes cuisses et s'est agenouillé devant moi, plongeant sa langue dans ma
chatte trempée avant de la ramener sur mon clitoris durci d'excitation. Il
m'a léchée un moment dans cette position avant de me faire pivoter vers les
chiottes elles-mêmes, dont j'ai rabattu le couvercle afin d'y prendre appui.
C'était charmant. Mais en même temps, pas le genre de détail qu'on pouvait
garder longtemps en tête quand on était soumise à un traitement aussi agréable,
aussi l'ai-je vite oublié pour me concentrer sur le plaisir que je
ressentais. J'éprouvais aussi beaucoup de plaisir finalement à visualiser la
scène, je m'imaginais, debout les jambes écartées, les fesses en l'air et
penchée en avant, m'offrant totalement à la langue de mon amant du jour. Il
s'est mis à me lécher plus fort, avec une sorte de fébrilité qui plus que tout
m'a donné envie d'avoir sa queue dans la bouche, de l'enfoncer dans ma gorge
comme il enfonçait sa langue dans mon vagin. J'étais trempée de mouille et de
salive mêlées, et je me suis mise à me caresser, frôlant sa langue de mes
doigts.
Perdant l'équilibre je me suis relevée
brutalement, et j'ai eu un vertige soudain qui m'a forcée à retomber au sol,
prenant appui sur mes paumes avant de me mettre sur les genoux et focaliser à
nouveau mon attention sur sa braguette, toujours aussi gonflée. Je l'ai
ouverte avec précipitation et j'en ai sorti sa bite: elle n'était pas
spécialement longue, mais plutôt grosse et elle tenait bien toutes les promesses
faites par son aspect: elle était dure comme une barre de métal, chaude et
palpitante.
Fidèle à mon habitude, je l'ai engloutie avec
gourmandise, et je me suis mise à sucer avec toute la ferveur dont j'étais
capable: je suçotais, léchais, titillais son frein du bout de ma langue, puis je
l'enfonçais loin au fond de ma gorge, jouissant de sentir mes mâchoires
écartelées par mon encombrante sucette. J'aimais ramener doucement la peau de
son prépuce sur son gland avant de le dénuder à nouveau, et à en juger par ses
gémissements il aimait plutôt ça également. Tout en le pompant je caressais
ses boules et je les sentais toutes élastiques sous mes doigts, toutes gorgées
de sperme chaud. Alors que je continuais à faire aller et venir la bite dans ma
bouche je me suis mise à me toucher, plongeant mes doigts dans ma chatte avant
de me caresser le clito.
A ce moment j'ai eu très envie de me faire prendre
debout, sauvagement plaquée contre le mur et prise bien à fond.
"Baise-moi", ai-je gémi.
Alors, il m'a relevée et m'a plaquée le ventre
contre le mur. Le contact du carrelage froid sur mes tétons me semblait une des
Puis il m'a brutalement enfoncé sa queue dans la chatte. J'ai crié de plaisir
tellement c'était bon. J'avais envie d'être baisée par une grosse queue très
dure, inlassablement, je voulais la sentir me défoncer, m'ouvrir, plonger au
plus profond de mon ventre avec des coups de boutoir conquérants. Je lui ai
demandé de me prendre plus loin, plus fort, je lui ai dit combien je désirais sa
queue, combien j'aimais la sentir en moi, je lui ai dit que je voulais qu'il me
baise plus fort et il l'a fait, se retirant presque de moi à chaque va-et-vient
pour replonger à nouveau en moi. Puis il a commencé à me doigter le cul en
même temps, d'abord avec un doigt puis peu après avec deux, sans pour autant
ralentir le rythme auquel sa queue me baisait la chatte. Une impression
tripante m'a alors envahie, celle d'être prise par les deux orifices en même
temps, de me sentir bien remplie, à fond... MMMmmhhhh..... Je commençais à
avoir une sacrée envie de crier, je sentais que j'allais avoir un orgasme
dévastateur mais je ne le sentais pas tellement de me mettre à hurler de plaisir
dans ces toilettes, sans toutefois trouver d'autre solution que de mordre le
chiffon de white-spirit qui nous avait réunis.
Ensuite, je me suis à nouveau mise à le sucer, en
me touchant toujours la chatte, car j'avais envie de recevoir son foutre bien
chaud au fond de la gorge et il n'avait pas encore joui..... Patiemment,
m'appliquant à oublier mon plaisir pour penser au sien, j'ai calé le rythme de
ma fellation sur le subtil petit mouvement que faisait sa main sur ma
tête. Puis j'ai commencé à y aller un tout petit peu plus vite, à enfoncer
son gland un peu plus loin dans ma gorge, et sa main s'est faite moins douce .
Bientôt, il me tenait par les cheveux et dirigeait mon mouvement avec fermeté,
ne s'arrêtant que lorsque sa queue buttait contre mon larynx ou
presque. Quand il a joui, j'ai été submergée par la quantité de sperme qu'il
a éjaculé mais j'ai tout avalé ou presque, enfin rassasiée. Il m'a relevée et
m'a embrassée, ce que j'ai trouvé touchant (et excitant aussi car j'aime bien
les mecs qui n'ont pas peur de leur propre foutre... ).
Je suis sortie la première des toilettes et j'ai
vu que la voie était libre, alors j'ai tiré mon peintre par la
salopette. Nous sommes repartis ensemble, et je l'ai raccompagné jusqu'à son
escalier. Puis j'ai dit bonsoir et j'ai fait un clin d'oeil, retournant à ma
place.
Quelques regards étonnés sur mon passage, très
nettement dirigés vers mon chemisier, ont toutefois fini par attirer mon
attention sur cette partie de mon anatomie, et j'ai souri en constatant que deux
traces de mains blanches ornaient mes seins.
Heureusement que les travaux allaient durer un
certain temps, ai-je songé avec satisfaction.
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