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Chaude galerie

Une chaude galerie

 
On commence à bien se connaitre maintenant et plus le temps passe et plus mon envie grandit de me confier à vous sans détour...Avec le temps vous me connaitrez peut-être mieux que moi-même!

Aimez-vous le Louvre? Avez vous déja déambulé sur ces pavés gris par une chaude nuit de printemps? Je m'y suis souvent prommenée, parfois seule et parfois accompagnée, et c'est lors d'une de ces balades complices avec un vieil ami que j'ai vécu l'un des moments les plus érotiques de ma vie.

Nous nous étions retrouvés assez tard ce soir là, comme souvent, car ni mon rythme de vie ni le sien n'étaient très réguliers, et souvent nous nous rencontrions à des heures tardives avant de nous quitter au matin, épuisés et comblés.
Cette nuit là il faisait assez doux, je me souviens que je portais un manteau léger, et dessous un simple chemisier de soie et une jupe.

La brise caressait et rougissait mes joues, faisait voler mes cheveux, et je sentais mes têtons qui durcissaient par moments, incapables de rester indifférents aux petits coups de vent qui venaient les titiller. Sous ma jupe je portais des dim up, vous savez, ces bas qui tiennent seuls.

Certains hommes manifestent une préférence inconditionnelle pour les bas dits normaux, et surtout pour les porte-jaretelles, mais j'ai entendu dire que certains autres aiment à voir une cuisse féminine simplement gantée d'un fin bas noir, sans autre artifice que la bande de dentelle silliconée séparant la peau nue de la peau parée. En tous cas, je prenais un grand plaisir à porter ces bas, j'aimais sentir la pression de la jarretière sur le haut de ma cuisse, d'autant que je les avais choisis bien grands pour qu'ils montent haut sur ma jambe.
Il m'arrivait parfois de caresser l'idée de sortir ainsi vêtue et sans culotte, pour coller au plus près au mythe de l'amazone perverse et sure de ses attouts, celle qui ne craint pas de croiser et de décroiser bien haut les jambes tout en ne perdant pas son interlocuteur des yeux, comme pour le mettre au défi d'oser seulement regarder ailleurs.

Mais ce soir la, je portais bel et bien une culotte, très douce et un peu transparente, faite de voile noir. On aurait presque cru qu'il s'agissait du meme tissu moiré que celui des bas.
J'avoue, je suis une fétichiste du vêtement, et plus que du vêtement, du tissu. Un tissu peut me plonger dans l'extase ou bien dans la répulsion, je suis capable d'aimer un vêtement moins bien coupé si l'étoffe me plait ou de renoncer à une robe de rêve si je ne suis pas entièrement convaincue par la douceur du tissu.

Alors evidemment, pour les sous-vêtements, c'est encore plus vrai... Que dire d'une pièce d'habillement donc la principale fonction sera de recouvrir toute la journée les parties les plus sensibles de mon anatomie, sinon qu'elle doit être plus soyeuse que jamais?

Je déambulais donc dans les rues, ce soir là, me hâtant pour rejoindre au plus vite mon ami qui, peut-être, m'attendait déjà. Je marchais vite, ma jupe voletait autour de mes genoux, se plaquait sur ma cuisse à chacun de mes pas décidés. Je sentais au creux de mon ventre la chaleur non pas de l'excitation proprement dite mais de l'exaltation et de l'attente de l'inconnu, car d'une certaine façon mon vieil ami me reservait toujours des surprises assez inoubliables dont je nourrissais par la suite mes fantasmes. Si vous êtes sages je vous raconterai certainement les expériences les plus chaudes qu'il m'ait donné l'occasion de connaître...
Par avance, je savourais déja le plaisir qui, j'en étais sure, m'attendait. Je portais des chaussures à talons qui, si elles ne me facilitaient pas la tâche, n'entravaient pas non plus l'allure vive de ma démarche, et accompagnaient mon chemin d'un clic-clac cinglant. Parfois, je croisais des gens sur le trottoir, tantôt des femmes qui me regardaient d'un air suspicieux, tantôt des hommes dont le regard approbateur ne faisait en général pas l'ombre d'un doute sur leurs intentions.

- "Encore une qui l'aura pas volé si jamais elle se fait violer" disaient certains yeux féminins, dont je devinais le regard encore ventousé à mon dos longtemps après que je fus passée, empreint de jalousie et de quelque chose d'autre aussi, comme peut être de l'admiration.

- "Je la defoncerais bien celle-là, je parie qu'elle n'attend que ça" disaient la plupart des yeux masculins.

Mais je n'avais pas de temps pour ces inconnus, ce jour-là, non que certains ne me semblaient pas appétissants, mais celui qui m'attendait me paraissait plus digne encore des pensées de plus en plus coquines qui commençaient à envahir mon esprit.
J'ai bientôt atteint le Louvre, et mon ami m'attendait, près de la pyramide. Je l'ai rejoint et j'ai déposé un baiser sur ses lèvres, collant au passage tout mon corps contre le sien. Imperturbable, il m'a souri et pris la main, m'entrainant vers les hautes arcades garnies de marches sur lesquelles nous allions souvent nous installer. Nous nous sommes assis, et nous avons commencé à discuter. Je faisais attention à serrer mon manteau sur mes jambes afin de ne pas exhiber trop mes cuisses, ni à lui ni aux passants, et je me tenais assise les jambes pliées de côté.
Nous parlions de choses et d'autres, comme si souvent, car notre relation donnait tout autant matière aux débordements sexuels les plus intenses qu'aux conversations entre potes les plus dénuées de toute arrière pensée. Il suffisait de savoir détecter quel moment étais le plus propice à quelle activité.

Soudain, il a posé sa main sur un de mes genoux, l'écartant un peu de l'autre. Ma peau a frémi sous ce contact, mes yeux ne quittaient pas les siens, qui se dirigeaient à présent vers l'espace de plus en plus ouvert entre mes cuisses. Il a souri.
"Sais tu que j'ai toujours rêvé de voir ces bas-la sur toi?" a-t-il dit doucement. Je sentais qu'il ne m'en fallait pas plus pour que je commence a mouiller sérieusement, et je me suis tortillée , comme si j'étais parcourue d'un spasme violent et délicieux. Il a posé l'autre main sur mon genoux solitaire, et s'est déplacé de manière à être presque face à moi. Je continuais de le regarder, lui qui ne me regardait pas. Il n'avait d'yeux que pour mon entrecuisse, et je me demandais si il pouvait voir à cette distance que ma culotte était toute mouillée. Il ne le pouvait sans doute pas, mais il le devinait probablement, et quand il a replongé ses yeux dans les miens j'ai aimé la flamme qui y dansait.

Ses mains, très lentement, ont remonté le long de mes cuisses et j'ai été parcourue d'un tremblement inextinguible. Il est difficile d'expliquer combien le contact d'une main chaude peut être excitant à travers un tissu aussi fin que celui d'un bas, et sur une peau aussi tendre que celle d'une cuisse. D'autant plus que l'intérieur de mes cuisses est probablement l'une des zones les plus érogènes de mon corps...

Je tendais maintenant à écarter de moi-même et très largement mes jambes, insouciante des quelques rares passants qui pouvaient encore ça et là se prommener sur la place. Ils pouvaient bien disparaitre ou rester, ça m'était bien égal, ils ne faisaient plus partie de mon univers mental.
J'étais chaude comme la braise, et cela rien qu'après une légère caresse sur la cuisse... C'est dire à quel point cet homme avait un pouvoir sur moi. Ou alors j'étais ce soir-là très réceptive.

Il avait il faut le dire une particularité, du genre de celles qui auraient fait fondre n'importe quelle femme assez attentive pour le remarquer : des mains très chaudes, et à la peau incroyablement douce. C'étaient les mains de quelqu'un qui ne s'en était jamais servi pour travailler, de toute évidence, et si j'ai aussi eu l'occasion de goûter la sauvage sensualité d'une paire de mains bien calleuses, j'ai toujours été un peu plus sensible aux mains douces, et en particulier au toucher incroyable de cette peau à peine plus usée que celle d'un bébé.

Ses doigts ont atteint la limite du bas, au-delà c'était ma peau, et il l'a effleurée avec plus de délicatesse encore qu'auparavant. J'ai ouvert la bouche pour soupirer à mon aise, et il y a posé un doigt, comme pour me faire signe de garder le silence. Ca ne me dérangeait pas, bien que je n'étais pas certaine de pouvoir à coup sûr y parvenir. La caresse devenait pire qu'une brûlure, et je ne pouvais que me laisser faire, ensorcelée que j'étais par mon sympathique ami.

Il a atteint ma chatte et l'a lentement soulignée du doigt à travers ma culotte. Mon clitoris était bien gonflé et mes petites lèvres l'étaient tout autant. Je commençais à vivre le martyre mais j'étais décidée à suivre les règles du jeu, et à le laisser mener la danse. Je me suis cambrée malgré moi, et j'ai écarté encore les cuisses, cette fois je ne pouvais pas aller plus loin, j'avais atteint les limites que ma souplesse m'autorisait, et je forçais volontairement sur les articulations de mes hanches pour retrouver un peu de cette sensation magique qu'on ressent à être un peu contrainte, mais un peu seulement, par le poids du corps d'un homme ...

Je n'avais plus qu'un désir, c'était qu'il passe ses doigts sous ma culotte, qu'il les enfonce dans ma chatte déja brûlante, ou plutôt non, qu'il m'arrache cette maudite culotte d'un geste ample et sûr de lui, non, qu'il m'offre sa queue à sucer, ou encore, qui sait, qu'il me prenne tout simplement en levrette sur la dalle froide et dure, sous le regard imperturbable de la lune... je ne savais plus vraiment ce que je voulais mais je le voulais, je ne voulais pas m'arrêter en chemin, il fallait que je me jette à corps perdu dans le plaisir sous peine de devenir folle.

Devinant mes tourments, il m'a fait mettre debout. Les jambes un peu flageolantes, je me suis exécutée, sans vraiment savoir ce qui allait suivre. Des deux mains, il a commencé à faire glisser le tissu le long de mes jambes, mettant à nu ma chatte palpitante. Lorsque j'ai eu la culotte aux chevilles, il a bien fallu que je soulève un pied puis l'autre afin de me dégager de cette entrave, et je n'ai pas pu m'empêcher de craindre d'être vue. Cette peur ne m'avait pas gênée avant, mais peut-être n'arborais-je pas jusqu'alors de posture trop ouvertement licencieuse. Je restais dans les limites floues de l'acceptable. Alors que maintenant, je me faisais retirer ma culotte en plein Paris par un homme ni plus ni moins assis à mes pieds. Voila à peu près la vision que devait avoir ce couple, là, au loin, qui semblait regarder dans notre direction. Aucune confusion ne devait être possible quant à la nature de notre activité, même à cette distance.

En étais-je troublée? Un peu, oui, à peine... J'étais incapable de penser à quoi que ce soit d'autre qu'à ce qui allait peut etre se passer dans une minute, bien que je ne sache rien à ce sujet. Se laisser guider est un parti pris auquel il est parfois bien difficile de se cantonner, quand bien même on en aurait fait la promesse. Entre mon ami et moi, aucune promesse n'avait jamais été échangée, mais c'était inutile. J'avais en lui une confiance aveugle, de celles qu'on éprouve rarement dans une vie. Quoi qu'il ait décidé pour la minute ou l'heure suivante, je m'en remettais à lui.

Il a commencé par glisser ma culotte dans sa poche.
"je ne te la rendrai jamais" m'a-t-il dit d'une voix douce, avec un sourire.
Peu m'importait. Il pouvait bien la garder, je pouvais bien ensuite courir la ville en risquant de montrer mes fesses au moindre coup de vent, tout cela m'était égal. Seul comptait ce moment magique qui ne faisait encore que commencer, ce grand moment dont à cette minute précise je savais déjà qu'il resterait dans ma mémoire.

Enfin, enfin, ses doigts si doux ont caressé ma chatte nue et offerte, j'ai gémi sans pouvoir me retenir, j'ai fermé les yeux. Il s'est levé et m'a faite reculer jusqu'au mur qui se trouvait derrière moi, m'y acculant. Soudain il a enfoncé l'index et le majeur très profondément en moi, et très vite. Une vague de plaisir a déferlé en moi, traversant mon ventre, ma poitrine, ma gorge, resonnant dans mes oreilles et jetant une pluie d'étoiles devant mes yeux. J'ai commencé à onduler doucement le bassin d'avant en arrière, m'accordant au rythme de sa caresse. Ses yeux magnifiques et pénetrants ne me quittaient pas. Je songeais que j'avais envie de jouir comme ça, en le regardant, mais un désir plus impérieux encore me tenaillait.

Je ne me préoccupais plus guère de bienséance, et même si le jeune couple que j'avais repéré précedemment était toujours là, j'étais désormais prête à toutes les extravagances.

Pour l'heure, je n'avais qu'une envie, celle de tomber à genoux devant mon amant et de faire jaillir sa queue de sa braguette. J'ai posé ma main sur son entrejambe et comme je l'imaginais il était déja dur, très dur. Il m'a laissée faire et j'ai eu vite fait d'ouvrir son pantalon et d'en sortir sa bite que j'ai commencé a branler très doucement, sans oublier ses couilles qui étaient adorables, assez petites, très compactes, et que j'aimais tellement tenir au creux de ma main...

Je devais dégouliner de mouille, je sentais le feu qui me brulait les entrailles remonter vers ma gorge et me battre aux tempes.

N'y tenant plus, j'ai attrapé sa main, sorti bien à regret ses doigts de mon vagin et je me suis agenouillée devant lui, commençant par lécher son gland en caressant sa queue avec ma paume. Puis je l'ai englouti et j'ai commencé à le sucer comme peut etre jamais je ne l'avais fait, tétant son gland et massant la hampe de ma langue, de mon palais et de l'intérieur des joues. je me concentrais au maximum pour lui donner la caresse la plus douce et la plus excitante possible, et ça semblait fonctionner. Déjà bien dure et grosse, sa queue a encore augmenté de volume dans ma bouche, me faisant écarter les mâchoires au maximum...
De temps à autre je changeais de technique et je me mettais à lécher ses couilles du bout dardé de ma langue, puis je les prenais toutes entières dans ma bouche, l'une après l'autre, et je les faisais doucement rouler contre ma langue, exerçant une douce pression contre cette peau si douce et si réactive.

Mon ami appréciait le traitement que je lui faisais subir, car son souffle était court, et ses gémissements, même s'il s'efforçait de rester silencieux, étaient éloquents. Il caressait mes cheveux, comme le font tant d'hommes en ces instants-là, et il tenait ma nuque d'une manière qu'il était en revanche le seul à connaitre, et qui me rendait folle.
Doucement, j'ai descendu une de mes mains vers mon entrejambe et j'ai commencé à me caresser, car l'excitation m'envahissait de plus en plus vite, et sucer me mettait souvent dans un bel état. Ma chatte était toujours plus brûlante, j'avais le ventre tel un brasier.

Soudain, mon ami a attrapé ma tête pour lui intimer un mouvement de retrait, et il m'a simplement dit:
"Lève-toi."
Je me suis exécutée et il est passé derrière moi, me plaquant contre le mur. Il a déboutonné mon chemisier, arraché mon soutien gorge, remonté ma jupe et il m'a plaquée contre la pierre froide, dont le contact contre mon ventre et mes têtons m'a faite mouiller davantage. Il a pris sa queue dans sa main et l'a dirigée vers ma chatte, commençant par caresser mon clitoris de son gland, tournant doucement dessus comme il savait que je j'aimais.
"prends-moi" ai-je murmuré, presque supplié, tellement je le voulais maintenant et pas une minute plus tard.
J'ai été exaucée. Aussitôt, j'ai senti sa queue bien dure et chaude me pénétrer, très vite, très fort. Je le voulais autant que lui, j'avais envie d'être prise très vite et très fort cette nuit là, ça me semblait bien s'accorder au lieu, aux circonstances, à la pierre toujours aussi rude contre ma peau.
J'avais envie d'être baisée, défoncée, de me laisser aller à la sauvagerie que l'excitation avait semée en mon esprit troublé. J'avais envie de hurler...
Mon amant m'a mis une main impérieuse sur la bouche, vérouillant mes cris, et ça m'a excitée encore plus. Je sentais sa queue aller et venir en moi, chauffant à blanc ma chatte bien trempée. D'une main j'ai essayé de caresser ses couilles, suivant du même coup le mouvement de sa bite, la sentant s'enfoncer puis se retirer, et puis s'enfoncer encore, plus loin, plus fort, plus profond...

Pour moi, je sentais que c'était la fin, l'orgasme montait, ce n'était plus qu'une question de secondes. Au moment de jouir, je me suis arc-boutée contre mon mur, gémissant comme je pouvais à travers la main qui me baillonnait.
- "Je vais jouir" m'a murmuré mon amant dans l'oreille, et aussitôt il est venu lui aussi, m'assènant des coups de plus en plus vigoureux. J'ai cru défaillir de plaisir.

Puis nous sommes tombés tous deux sur nos genoux et nos mains, tremblants, le souffle court. C'était un des meilleurs orgasmes de ma vie. Vraiment. et je le lui ai dit. Il m'a souri.

Ensuite, me prenant par la main, il m'a entrainée loin du Louvre et de ses pierres froides et dures... Pierres que je ne pourrai plus jamais voir sans ressentir de l'excitation, sans me souvenir de cette nuit étrange... Nous sommes passés devant le couple, et j'ai distinctement vu sur le visage du mec qu'il n'en avait pas perdu une miette. La fille avait l'air plus gênée. En tout état de cause, j'espérais au moins que ça leur donnerait des idées.

Après l'intensité de cette expérience, je n'ai pas eu envie de rentrer chez lui, ou de l'inviter chez moi. Il me fallait être seule, pour profiter sans être dérangée de mes souvenirs. J'ai depuis souvent repensé à cette nuit mémorable, mais, le croirez-vous? c'est la première fois que je la raconte à quelqu'un...


 

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