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Une amie présentable

 Une amie présentable

 J'ai reçu la semaine dernière le coup de fil d'une vieille copine de lycée, Marie-Charlotte, qui, avec deux autres filles, formait avec votre aimable servante le plus irréductible groupe d'amies du lycée privé pour jeunes filles que nous fréquentions alors.
Marie-Charlotte m'apprenait qu'elle montait à Paris pour quelques jours, et qu'elle avait très envie de venir chez moi à cette occasion afin que nous refassions connaissance. Enchantée par cette idée, j'ai accepté avec enthousiasme et je lui ai donné mon adresse.

Du temps de nos seize ans, Marie-Charlotte était de nous toutes la plus prude. Issue d'une vieille famille catholique assez coincée, elle ne portait que les jupes et les cardigans de ses grandes soeurs et ignorait les couleurs autres que bleu marine ou vert sapin. Physiquement, elle était assez petite et malingre, peu développée pour son âge, ce qui la faisait paraitre beaucoup plus jeune que nous.
Elle coiffait ses cheveux chatains et raides en une natte qui tombait dans son dos, et son petit visage pointu aux lèvres pincées était constellé de tâches de rousseur.

Lorque j'avais quitté cet établissement (renvoyée pour mauvaise conduite, cela va sans dire) à la fin de la seconde, j'avais gardé avec mes trois camarades des rapports épistolaires à peu près jusqu'au bac, puis les lettres s'étaient espacées, jusqu'à disparaître complêtement comme il arrive souvent dans ce genre de cas.

Et à présent ma vieille copine Marie-Charlotte allait venir me rendre visite à Paris! J'étais très heureuse à cette pensée, et j'ai consacré les deux jours suivant son coup de fil à me souvenir de nos frasques passées, avec un plaisir et une nostalgie que je n'aurais pas soupçonnées quelques jours avant!

Le soir où elle devait sonner à ma porte, tout était prêt pour la recevoir . J'avais préparé un bon repas, arrangé la chambre d'amis, et je m'étais vêtue avec une sobriété propre à cacher tous les "désordres" de mon existence, que je supposais par trop enclins à choquer Marie-Charlotte.

Quand la sonnette a retenti, je me suis levée, le coeur presque battant, et je me suis précipitée pour ouvrir la porte.
Je dois dire que je n'étais pas préparée à un tel choc.
Nous nous sommes tombées dans les bras avec un bonheur non feint, mais j'étais totalement abasourdie par ce que je voyais.
La personne que j'avais face à moi n'avait rien à voir avec celle que je m'attendais à retrouver.
Maris-Charlotte avait beaucoup grandi depuis que je l'avais vue pour la dernière fois. Elle arborait à présent une poitrine arrogante, mise en valeur par un bustier extrêmement serré, et elle était globalement assez plantureuse.

Ses cheveux étaient blonds et courts, encadrant son visage de boucles hollywoodiennes, et ses lèvres avaient dû être refaites car elles étaient plutôt pulpeuses.
La transformation était confondante.

Je l'ai invitée à entrer et nous sommes allées nous installer dans le canapé. Je nous ai servi des coupes de champ.

"Oui, j'imagine que tu dois me trouver changée," a dit Marie-Charlotte en sirotant son champagne. "Je suppose que je peux bien tout te dire, à toi! Je suis venue ici parce que j'ai quelques scènes à tourner dans le nouveau Pierre Lancel."

J'ai dégluti avec peine. Non pas que la nouvelle me choquait spécialement, mais elle m'étonnait quand même un peu. Marie-Charlotte, actrice porno? Car Pierre lancel était un célèbre réalisateur et producteur de films X.

"Charlie Angel, ça te dit quelque chose?" m'a demandé Marie-Charlotte en riant. "C'est sous ce nom que je tourne. j'ai déjà fait 3 films aux USA et aussi quelques amateurs ici et en Italie."

J'ai fouillé dans ma mémoire. Et je me suis souvenue de Grant, un américain avec qui je couchais vaguement, il y a quelques mois, et qui m'avait montré un film dont il appréciait particulièrement la starlette, une française aux boucles rouges qui se trouvait, je m'en rendais compte à présent, être Charlie.
Charlie, la spécialiste des doubles trucs (double pénétration, double fist, double pipe...), du bondage et des scènes fétichistes.

"Waow, Marie-Charlotte, je n'aurais jamais cru ça de toi..." ai-je finalement lâché, encore toute incrédule. "Tu sais que j'ai vu un de tes films, au fait? Jamais je ne t'aurais reconnue."

"Oh, tu sais, je me suis fait refaire les seins et la bouche, j'ai pris quelques centimètres et surtout quelques kilos, et puis avec la couleur de cheveux qui change, ça fait vraiment un gros contraste!"

Nos verres étaient vides. Je les ai remplis à nouveau. Marie-Charlotte a allumé une cigarette. Puis nous avons continué à discuter de sa métamorphose, de sa nouvelle vie, de la mienne, et nous en sommes arrivées à vider la bouteille tout en riant aux éclats. En clair, nous étions un peu grises.

"Tiens," a dit soudain Marie-Charlotte en fouillant dans son sac à main, "il ne faut pas que j'oublie de contacter Mike, c'est l'acteur avec qui je vais bosser sur le Lancel, il est plutôt sympa et on s'était promis de se voir avant le tournage pour réviser un peu..."

Je voyais très bien de qui elle voulait parler, un gars très bien foutu, assez sensuel, et surtout bien monté.
Je lui ai proposé de l'appeler tout de suite si elle voulait, et elle a trouvé l'idée pas mauvaise.
Un quart d'heure plus tard, le Mike en question était en route vers mon humble demeure.

Quand il a sonné, Marie-Charlotte lui a ouvert et ils sont tombés dans les bras l'un de l'autre, comme deux vieux camarades de travail qu'ils étaient.

"Comment ça va, Charlie???" a-t'il fait avec enthousiasme. "Toujours aussi bandante, à ce que je vois." (Il a joint le geste à la parole en saisissant la main de Charlie et en la posant sur son entrejambe.) "Le blond te va aussi bien que le roux!" a-'il ajouté avec un air de connaisseur.

Puis Marie-Charlotte nous a présentés et je les ai invités à aller prendre place au salon tandis que je partais en quête d'une autre bouteille de champagne.
Quand je suis revenue au salon, peinant à tenir en équilibre sur mes talons, j'ai trouvé Marie-Charlotte à genoux devant Mike, en train de le sucer. Sa queue, que je voyais sortir à intervalle régulier de la bouche (très profonde, apparemment...) de Charlie, était vraiment impressionnante. J'ai senti un fourmillement dans mon bas ventre, et je me suis aperçue que ce spectacle m'excitait violemment.

Pour garder contenance, j'ai posé tranquillemement la bouteille sur la table basse et j'ai fait sauter le bouchon. Malgré mes précautions, l'alcool a jailli du goulot comme un geyser, et cette vision, curieusement d'actualité, n'a fait qu'augmenter mon excitation.

Marie-Charlotte s'est alors relevée et m'a regardée avec un sourire, ses belles lèvres rouges toutes brillantes de salive et de sperme.

"tiens, je te la laisse un peu, si tu veux..." a-t'elle proposé avec malice.

Sans vraiment réfléchir, j'ai oublié mon cerveau et je me suis mise à réfléchir avec ma petite culotte, qui pour l'heure était sérieusement humide. je suis tombée à genoux auprès de Marie-Charlotte, qui tenait la grosse queue de Mike dans sa main, et j'ai commencé à lapper son gland, à le lécher comme une glace bien fraîche avant de l'engloutir entièrement et de la sucer langoureusement.

Pendant ce temps Marie-Charlotte a fait descendre ses lèvres sur ses couilles bien pleines et bien gonflées, et les a prises dans sa bouche. Mike s'est mis à gémir plus fort et sa queue est devenue bien plus dure sous ma langue. J'étais excitée à mort.
J'ai confusément senti Marie-Charlotte bouger à mes côtés, puis elle s'est glissée derrière moi, remontant ma jupe en passant doucement ses mains le long de mes cuisses, baissant ma culotte de la même façon, ses paumes douces créant sur ma peau un frisson électrique.
Quand elle a eu fini de baisser mon slip elle a écarté doucement mes lèvres de ses doigts. C'était une impression très étrange de penser que cette jeune femme était la même gamine un peu rabat-joie qui autrefois haussait toujours les épaules avec dédain quand nous autres jeunes midinettes parlions de sexe...

Me cambrant au maximum je me suis offerte à cette caresse, écartant mes cuisses, creusant les reins, et quand sa langue a touché mon clitoris j'ai cru mourir de plaisir tellement elle s'y prenait bien.
Je me suis souvenue qu'elle avait aussi, en tant qu'actrice, une bonne réputation de lesbienne, et j'ai compris pourquoi.
Mise en transe par sa façon de me lécher j'ai continué à sucer la queue de Mike, l'enfonçant loin dans ma gorge, l'enserrant de mes lèvres et de ma langue, titillant son gland et son frein de ma langue toujours agile, tout en sentant celle de Marie-Charlotte - mais désormais elle était Charlie, j'en étais convaincue - s'immiscer délicieusement en moi.

Se dégageant doucement de mon étreinte buccale, Mike s'est levé et a attrappé son sac qu'il avait laissé sur le côté du canapé. Il en a sorti une boite de carton d'assez petite taille, dans laquelle selon toute vraisemblance devait se trouver un gode ou un vibro.

"Regardez, les filles, je vous apporte un cadeau: le tout dernier gode moulé d'après le sexe de *** !!"

Marie-Charlotte a gémi de plaisir, puis elle a abandonné ma chatte pour se rapprocher de Mike. J'avais pour ma part vu quelques photos de ***, et je savais qu'il avait une queue assez impressionnante. L'imaginer transformée en gode me donnait l'eau à la bouche.
Comme une enfant qui ouvre un paquet, Charlie a arraché le carton qui protégeait ce nouvel objet de plaisir, et en a sorti un gode de latex très ressemblant, dont la peau était imitée à la perfection, à la texture à la fois souple et résistante comme une vraie bite.

Elle l'a portée à sa bouche ét a commencé à la sucer, tandis que Mike m'attrappait de ses mains puissantes et me faisait assoir sur le canapé auprès de lui. Il m'a embrassée et ses mains se sont mises à courir sur mon corps, attrappant mes seins, en titillant les bouts, puis redescendant sur mon ventre, écartant mes cuisses, enfonçant ses doigts dans ma chatte bien mouillée.

J'ai gémi, et je me suis renversée en arrière, toute offerte à la caresse qui m'était prodiguée. Charlie s'est allongée sur le sol, et écartant largement les cuisses elle a enfoncé le gode dans sa chatte intégralement épilée. la vision de cet énorme bâton de latex pénétrant sa chatte m'a encore plus excitée, et je me suis tordue sous les caresse de Mike, qui savait si bien me toucher.
Me souvenant que j'avais laissé mes boules de geisha dans le tiroir de la table de salon, j'ai tendu le bras pour l'ouvrir et les attrapper. J'ai refermé mes doigts dessus, toute excitée à l'idée de ce que j'allais me faire (faire) avec.

Je me suis relevée et j'ai été m'installer sur le sol auprès de Charlie, entre ses cuisses. J'ai pris le gode qu'elle tenait et j'ai commencé à le faire aller et venir en elle, l'enfonçant le plus loin que je pouvais. Elle criait de plaisir et sa tête remuait de gauche à droite. Puis je lui ai retiré le gode et je me suis mise à le sucer. Mike n'en pouvait plus de nous regarder, il branlait sa queue au bout de laquelle quelques gouttes perlaient.
J'ai commencé à doigter Charlie au moment ou Mike lui enfonçait sa bite dans la bouche, poussant loin son gland dans sa gorge.
La bouche pleine, Charlie ne pouvait gémir, mais les sons qu'elle émettait prouvaient à quel point elle aimait ça.

Trop excitée, j'ai arreté un moment de m'occuper d'elle et j'ai commencé à me caresser avec mes boules de geisha, les faisant rouler sur ma vulve gonflée de désir avant d'en enfoncer une puis l'autre en moi.
Comme j'étais très mouillée, elles glissaient très bien, et rapidement elles se sont toutes deux retrouvées au fond de mon vagin brulant. Je me suis caressé le clitoris et j'ai senti les sensations monter très vite, avec violence.

J'étais à quatre pattes par terre, une main que le sol, l'autre entre mes jambes, toute échevelée, le souffle court.
Charlie s'est allongée sous moi, posant ses mains sur mes fesses et m'attirant vers sa bouche. Elle s'est remise à me lécher le clito, d'un geste si expert que j'ai senti très vite que j'allais jouir. Mike était à genoux près de moi lui aussi, et j'ai attrappé as bite pour la prendre dans ma bouche. J'avais envie d'être bien remplie, investie par cette grosse bite qui palpitait sous ma langue.

J'ai attrappé le gode et j'ai commencé à défoncer Charlie avec, et elle s'est mise à me lécher plus vite et plus fort.
Mike a sorti sa queue de ma bouche et il est venu se placer derrière moi, frottant sa queue à mes fesses. Tendant la main pour l'attrapper, j'ai dirigé son gland contre mon anus et peu a peu il a enfoncé sa queue en moi.
J'ai gémi alors qu'il me pénétrait, et j'ai enfoui mon visage dans la chatte de Charlie qui me léchait toujours avec autant d'enthousiasme.
Alors que Mike s'enfonçait en moi je sentais sa queue contre les boules de geisha, à travers la fine paroi, et cette sensation était encore plus jouissive que tout le reste. Quand il a eu enfoncé sa queue bien profondément en moi, il s'est lentement retiré, entamant un mouvement de va-et-vient ample et lancinant. A chaque fois qu'il se retirait j'avais envie qu'il me remplisse à nouveau, et la langue de Charlie sur mon clitoris me plaçait dans un état proche du délire.

Mike s'est mis à me sodomiser de plus en plus vite, et j'ai été prise d'une frénésie peu commune. J'ai défoncé la chatte de Charlie avec l'énorme gode et j'ai enfoncé deux doigts dans son cul afin de la prendre bien à fond. Pinçant son clito entre mes lèvres j'ai légèrement tiré dessus, ce qui a eu pour résultat de la faire crier, de plaisir, je pouvais le dire.
J'ai relevé la tête et j'ai crié, me laissant aller toute entière à l'orgasme. Les couilles de Mike claquaient contre ma chatte et de mes doigts je me branlais avec les boules de geisha.
Charlie s'est mise à jouir aussi, elle a cessé de me lécher pour pouvoir crier à son aise, et je l'ai engodée encore plus fort pour bien la finir en beauté.
Mike me tenait bien serrée par les hanches, et quand il a senti qu'il allait jouir il s'est retiré de moi et a éjaculé sur mes fesses en poussant un râle sauvage.
Lentement nous avons repris nos esprits, puis nous sommes retournés nous installer sur le canapé, et j'ai rerempli les coupes de champagne.

Encore une fois, nous avons trinqué à nos retrouvailles.

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