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Une amie présentable |
Une amie présentable J'ai reçu la semaine dernière le coup de fil
d'une vieille copine de lycée, Marie-Charlotte, qui, avec deux autres filles,
formait avec votre aimable servante le plus irréductible groupe d'amies du lycée
privé pour jeunes filles que nous fréquentions alors. Du temps de nos seize ans, Marie-Charlotte était
de nous toutes la plus prude. Issue d'une vieille famille catholique assez
coincée, elle ne portait que les jupes et les cardigans de ses grandes soeurs et
ignorait les couleurs autres que bleu marine ou vert sapin. Physiquement, elle
était assez petite et malingre, peu développée pour son âge, ce qui la faisait
paraitre beaucoup plus jeune que nous. Lorque j'avais quitté cet établissement (renvoyée pour mauvaise conduite, cela va sans dire) à la fin de la seconde, j'avais gardé avec mes trois camarades des rapports épistolaires à peu près jusqu'au bac, puis les lettres s'étaient espacées, jusqu'à disparaître complêtement comme il arrive souvent dans ce genre de cas. Et à présent ma vieille copine Marie-Charlotte allait venir me rendre visite à Paris! J'étais très heureuse à cette pensée, et j'ai consacré les deux jours suivant son coup de fil à me souvenir de nos frasques passées, avec un plaisir et une nostalgie que je n'aurais pas soupçonnées quelques jours avant! Le soir où elle devait sonner à ma porte, tout était prêt pour la recevoir . J'avais préparé un bon repas, arrangé la chambre d'amis, et je m'étais vêtue avec une sobriété propre à cacher tous les "désordres" de mon existence, que je supposais par trop enclins à choquer Marie-Charlotte. Quand la sonnette a retenti, je me suis levée, le
coeur presque battant, et je me suis précipitée pour ouvrir la porte. Ses cheveux étaient blonds et courts, encadrant
son visage de boucles hollywoodiennes, et ses lèvres avaient dû être refaites
car elles étaient plutôt pulpeuses. Je l'ai invitée à entrer et nous sommes allées nous installer dans le canapé. Je nous ai servi des coupes de champ. "Oui, j'imagine que tu dois me trouver changée," a dit Marie-Charlotte en sirotant son champagne. "Je suppose que je peux bien tout te dire, à toi! Je suis venue ici parce que j'ai quelques scènes à tourner dans le nouveau Pierre Lancel." J'ai dégluti avec peine. Non pas que la nouvelle me choquait spécialement, mais elle m'étonnait quand même un peu. Marie-Charlotte, actrice porno? Car Pierre lancel était un célèbre réalisateur et producteur de films X. "Charlie Angel, ça te dit quelque chose?" m'a demandé Marie-Charlotte en riant. "C'est sous ce nom que je tourne. j'ai déjà fait 3 films aux USA et aussi quelques amateurs ici et en Italie." J'ai fouillé dans ma mémoire. Et je me suis
souvenue de Grant, un américain avec qui je couchais vaguement, il y a quelques
mois, et qui m'avait montré un film dont il appréciait particulièrement la
starlette, une française aux boucles rouges qui se trouvait, je m'en rendais
compte à présent, être Charlie. "Waow, Marie-Charlotte, je n'aurais jamais cru ça de toi..." ai-je finalement lâché, encore toute incrédule. "Tu sais que j'ai vu un de tes films, au fait? Jamais je ne t'aurais reconnue." "Oh, tu sais, je me suis fait refaire les seins et la bouche, j'ai pris quelques centimètres et surtout quelques kilos, et puis avec la couleur de cheveux qui change, ça fait vraiment un gros contraste!" Nos verres étaient vides. Je les ai remplis à nouveau. Marie-Charlotte a allumé une cigarette. Puis nous avons continué à discuter de sa métamorphose, de sa nouvelle vie, de la mienne, et nous en sommes arrivées à vider la bouteille tout en riant aux éclats. En clair, nous étions un peu grises. "Tiens," a dit soudain Marie-Charlotte en fouillant dans son sac à main, "il ne faut pas que j'oublie de contacter Mike, c'est l'acteur avec qui je vais bosser sur le Lancel, il est plutôt sympa et on s'était promis de se voir avant le tournage pour réviser un peu..." Je voyais très bien de qui elle voulait parler, un
gars très bien foutu, assez sensuel, et surtout bien monté. Quand il a sonné, Marie-Charlotte lui a ouvert et ils sont tombés dans les bras l'un de l'autre, comme deux vieux camarades de travail qu'ils étaient. "Comment ça va, Charlie???" a-t'il fait avec enthousiasme. "Toujours aussi bandante, à ce que je vois." (Il a joint le geste à la parole en saisissant la main de Charlie et en la posant sur son entrejambe.) "Le blond te va aussi bien que le roux!" a-'il ajouté avec un air de connaisseur. Puis Marie-Charlotte nous a présentés et je les ai
invités à aller prendre place au salon tandis que je partais en quête d'une
autre bouteille de champagne. Pour garder contenance, j'ai posé tranquillemement la bouteille sur la table basse et j'ai fait sauter le bouchon. Malgré mes précautions, l'alcool a jailli du goulot comme un geyser, et cette vision, curieusement d'actualité, n'a fait qu'augmenter mon excitation. Marie-Charlotte s'est alors relevée et m'a regardée avec un sourire, ses belles lèvres rouges toutes brillantes de salive et de sperme. "tiens, je te la laisse un peu, si tu veux..." a-t'elle proposé avec malice. Sans vraiment réfléchir, j'ai oublié mon cerveau et je me suis mise à réfléchir avec ma petite culotte, qui pour l'heure était sérieusement humide. je suis tombée à genoux auprès de Marie-Charlotte, qui tenait la grosse queue de Mike dans sa main, et j'ai commencé à lapper son gland, à le lécher comme une glace bien fraîche avant de l'engloutir entièrement et de la sucer langoureusement. Pendant ce temps Marie-Charlotte a fait descendre
ses lèvres sur ses couilles bien pleines et bien gonflées, et les a prises dans
sa bouche. Mike s'est mis à gémir plus fort et sa queue est devenue bien plus
dure sous ma langue. J'étais excitée à mort. Me cambrant au maximum je me suis offerte à cette
caresse, écartant mes cuisses, creusant les reins, et quand sa langue a touché
mon clitoris j'ai cru mourir de plaisir tellement elle s'y prenait bien. Se dégageant doucement de mon étreinte buccale, Mike s'est levé et a attrappé son sac qu'il avait laissé sur le côté du canapé. Il en a sorti une boite de carton d'assez petite taille, dans laquelle selon toute vraisemblance devait se trouver un gode ou un vibro. "Regardez, les filles, je vous apporte un cadeau: le tout dernier gode moulé d'après le sexe de *** !!" Marie-Charlotte a gémi de plaisir, puis elle a
abandonné ma chatte pour se rapprocher de Mike. J'avais pour ma part vu quelques
photos de ***, et je savais qu'il avait une queue assez impressionnante.
L'imaginer transformée en gode me donnait l'eau à la bouche. Elle l'a portée à sa bouche ét a commencé à la sucer, tandis que Mike m'attrappait de ses mains puissantes et me faisait assoir sur le canapé auprès de lui. Il m'a embrassée et ses mains se sont mises à courir sur mon corps, attrappant mes seins, en titillant les bouts, puis redescendant sur mon ventre, écartant mes cuisses, enfonçant ses doigts dans ma chatte bien mouillée. J'ai gémi, et je me suis renversée en arrière,
toute offerte à la caresse qui m'était prodiguée. Charlie s'est allongée sur le
sol, et écartant largement les cuisses elle a enfoncé le gode dans sa chatte
intégralement épilée. la vision de cet énorme bâton de latex pénétrant sa chatte
m'a encore plus excitée, et je me suis tordue sous les caresse de Mike, qui
savait si bien me toucher. Je me suis relevée et j'ai été m'installer sur le
sol auprès de Charlie, entre ses cuisses. J'ai pris le gode qu'elle tenait et
j'ai commencé à le faire aller et venir en elle, l'enfonçant le plus loin que je
pouvais. Elle criait de plaisir et sa tête remuait de gauche à droite. Puis je
lui ai retiré le gode et je me suis mise à le sucer. Mike n'en pouvait plus de
nous regarder, il branlait sa queue au bout de laquelle quelques gouttes
perlaient. Trop excitée, j'ai arreté un moment de m'occuper
d'elle et j'ai commencé à me caresser avec mes boules de geisha, les faisant
rouler sur ma vulve gonflée de désir avant d'en enfoncer une puis l'autre en
moi. J'étais à quatre pattes par terre, une main que le
sol, l'autre entre mes jambes, toute échevelée, le souffle court. J'ai attrappé le gode et j'ai commencé à défoncer
Charlie avec, et elle s'est mise à me lécher plus vite et plus fort. Mike s'est mis à me sodomiser de plus en plus
vite, et j'ai été prise d'une frénésie peu commune. J'ai défoncé la chatte de
Charlie avec l'énorme gode et j'ai enfoncé deux doigts dans son cul afin de la
prendre bien à fond. Pinçant son clito entre mes lèvres j'ai légèrement tiré
dessus, ce qui a eu pour résultat de la faire crier, de plaisir, je pouvais le
dire. Encore une fois, nous avons trinqué à nos retrouvailles. |