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Taxi mouillé

 Taxi mouillé

Je suis sortie de la boite de nuit toute frissonnante de l'expérience que je venais de vivre et du froid piquant de l'aube. Le jour commençait à poindre et j'avais très envie de dormir. J'aime rentrer au moment où la ville s'éveille, me coucher quand d'autres se mettent au travail. Me coucher ou faire autre chose, d'ailleurs...

Une file de taxis attendait auprès de la station la plus proche. Moi qui commençait à avoir la flemme de marcher, je n'allais pas avoir à lutter trop longtemps avant de m'abriter dans une voiture bien chaude.
Je me suis dirigée vers le premier taxi, mais le conducteur m'a jeté un rapide coup d'oeil avant de me dire qu'il prenait sa pause. J'étais un peu vexée. Avais-je tant l'air d'une fille de mauvaise vie? Et surtout, depuis quand les hommes considéraient-ils ça comme un problème?

J'ai préféré aller tenter ma chance auprès du second taxi, qui n'a pas semblé réagir d'une quelconque manière à mon apparence. je lui ai communiqué ma destination et il a simplement hoché la tête. Il était plutôt mignon d'ailleurs, une trentaine d'année, l'oeil pâle et le visage un peu buriné, les cheveux bruns et plutôt indisciplinés.
Je me suis assise derrière lui et je me suis laissée aller contre le dossier moelleux, sans trop faire attention à quoi que ce soit.

Le chauffeur ne parlait toujours pas, mais me regardait de temps à autre dans son rétroviseur. Son regard était assez ensorcelant, je m'y perdais comme au fond d'un lac tranquille et insondable. Pendant les feux rouges il me fixait littéralement, finissant par me noyer dans ses yeux comme un insecte prisonnier d'une lampe. Il m'était très difficile de détourner le regard et à vrai dire je n'en avais pas vraiment envie.
Je me suis soudain sentie envahie par une chaleur suspecte, cet inconnu me faisait mouiller et j'avais envie que quelque chose se passe, mais en même temps j'étais trop fatiguée pour agir en ce sens. Ce serait à lui de me cueillir si il le désirait.
Pour le moment je me contentais de mouiller abondamment ma petite culotte en rendant à cet homme son regard effronté.

Pour m'occuper les mains j'ai ouvert mon sac et je me suis mise en quête de mon porte-monnaie. Il ne m'a pas fallu très longtemps avant de m'apercevoir qu'il n'était pas là. Je n'avais pas non plus ma carte bleue ni mon chéquier sur moi.
J'ai connu un instant de confusion, me demandant ce que j'allais dire à mon chauffeur, mais il me regardait toujours et d'un air si énigmatique et attractif qu'au lieu d'ouvrir la bouche pour lui faire part de mon problème je n'ai pu qu'ouvrir les cuisses.
J'ai repoussé mon sac sur la banquette et je me suis installée plus confortablement. Mon clitoris me brûlait, il était tout gonflé de désir et j'avais de plus en plus envie de le toucher.
Je regardais toujours mon chauffeur dans les yeux, la bouche vaguement entr'ouverte. Il me rappelait un acteur que je trouve particulièrement sexy. Je devais ressembler à un cliché de film porno, et j'imaginais que ce type n'avait pas du se retrouver dans cette situation si souvent dans sa vie.
Il ne semblait pourtant pas s'émouvoir. Il conduisait toujours, regardant tantôt droit devant lui, tantôt droit dans mes yeux, sans que son visage change un tant soit peu.

Nous roulions depuis près de dix minutes et j'imaginais que le but était proche, quand il a bifurqué dans une ruelle dont je savais qu'elle était sans issue.
Il s'est garé au bout, sans rien dire, et il a lentement levé la main vers son rétroviseur, en changeant l'orientation jusqu'à ce que mon entrecuisse et non plus mon visage se reflète dedans. C'était un très grand rétroviseur, et j'imaginais que s'il décidait d'ouvrir sa braguette je le verrai fort bien aussi.

"- Relevez votre jupe", a-t'il dit d'une voix calme. Il avait un léger accent mais je n'aurais pas su dire d'où.

Une décharge d'adrénaline m'a traversée, et doucement j'ai porté ma main à l'ourlet de ma jupe, la remontant le long de mes cuisses jusqu'à découvrir ma petite culotte.
Un frisson m'a traversée, et j'ai glissé mes doigts sous ma culotte, les enfonçant dans mon vagin chaud et trempé. J'ai exhalé un long gémissement et soudain l'homme a bougé: il a passé sa main droite entre les deux sièges avant et il a rejeté son bras en arrière, attrapant ma main à la vitesse de l'éclair.
Il a porté ma main à sa bouche et a sucé mes doigts comme un bonbon. Ses lèvres, sa langue étaient douces et chaudes, et le simple fait d'imaginer ce qu'il pourrait me faire avec me mettait dans un état d'excitation plus critique encore qu'auparavant.

Il a laissé aller ma main, et je l'ai posée sur son sexe, qui faisait une bosse non négligeable sous son jean.

"- Montre-moi ta queue", ai-je demandé."

Sans dire un mot, il s'est exécuté. Il a lentement ouvert sa braguette, puis a défait les boutons de son caleçon, libérant une belle queue droite et épaisse, d'une longueur moyenne. Il bandait plutôt dur, et il s'est mis à se branler lentement, les yeux apparemment fixés sur son rétro, d'après ce que je pouvais voir.
Je me suis réinstallée confortablement contre mon dossier, et j'ai retiré ma culotte. Entre mes cuisses largement écartées, je voyais dans le rétroviseur luire ma fente rose et brillante de mouille.
Je me sentais excitée comme jamais. Les souvenirs de la nuit passée en boite semblaient déjà s'évanouir tant l'intensité du moment présent s'imprimait en moi.

"- Caresse-toi", a-t'il demandé, ou ordonné, je ne savais guère.

Sans attendre qu'il me le demande deux fois j'ai ouvert les cuisses au maximum et j'ai écarté mes petites lèvres de la main gauche, me touchant ça et là de la droite. J'ai enfoncé deux doigts dans ma chatte puis je me suis mise à me masser le clitoris, me plongeant rapidement dans un état avancé de plaisir.
Pendant ce temps il faisait de même, et j'étais hypnotisée par le mouvement de ses doigts sur sa queue, le détail de ses gestes.
J'aime voir un mec se caresser. J'aime voir comment il touche son gland, caresse sa hampe avant de s'attarder un moment sur ses couilles, ou le contraire, j'aime noter toutes les différences de rythme et de pression...
J'aime aussi imaginer un homme se toucher, seul, pour lui. J'aimerais avoir un pouvoir magique et pouvoir m'introduire chaque nuit chez un nouveau branleur, et l'observer se faire jouir en secret.

Je me sentais de plus en plus excitée. J'avais deux doigts de la main gauche dans la chatte pendant que de la droite je me caressais le clito, les yeux rivés à sa queue de plus en plus grosse.
j'ai soudain eu très envie de jouir, et j'ai su que je ne pourrais pas me retenir plus longtemps. J'ai ouvert grand la bouche et j'ai crié mon plaisir sans aucun égard pour le lieu inhabituel où nous nous trouvions.
Aussitôt après j'ai eu une envie dévorante de le sucer, de plonger sa grosse queue bien dure au fond de ma gorge et de le pomper jusqu'à ce qu'il explosedans ma bouche.
A cette idée, je mouillais à nouveau comme une folle.

J'ai ouvert ma portière et je suis sortie, les fesses à l'air et les cuisses maculées de mouille. La ruelle était déserte, nous étions saufs.
J'ai ouvert sa portière et je me suis penchée sur sa queue, commençant par goûter la saveur de son gland en le léchant avec gourmandise. J'ai caressé son frein, joué avec son prépuce, immiscé le bout dardé de ma langue dans son méat puis joué à nouveau avec son frein....
Chaque queue est pour moi une expérience entièrement nouvelle, j'aime à les découvrir et à les apprivoiser, j'aime tester toutes sortes de caresses jusqu'à trouver celles qui marchent le mieux sur tel ou tel homme.
Il a gémi quand j'ai enfoncé son sexe dans ma bouche jusqu'à la garde, cognant mon nez à son ventre et mon menton à ses couilles.
Je me suis mise à le sucer sur un rythme paisible et régulier, inexorable. il a posé ses mains sur ma tête et il a suivi mon mouvement, sans le forcer ni le modifier. Son souffle s'est fait plus rapide.
Quant à moi j'ai glissé ma main droite entre mes cuisses et j'ai recommencé à me toucher, ne pouvant résister à toute cette excitation.

Alors que je le pompais toujours sur le même rythme, il a murmuré que j'allais le faire jouir. Il m'a demandé de continuer comme ça, et j'ai commencé à sentir sa queue palpiter sous ma langue, comme animée de multiples soubresauts.
Il a joui en libérant de longs jets de sperme brûlant dans ma bouche, et je me suis trouvée si excitée par le goût de son sperme que j'ai joui presque aussitôt à mon tour.

j'ai posé la tête sur son genoux, reprenant mon souffle, puis je suis retournée m'assoir dans la voiture, les jambes flageolantes.
Le chauffeur a remis son rétroviseur à sa place habituelle et la voiture a redémarré.

"- Je n'ai pas d'argent sur moi, alors si vous voulez bien je vais vous laisser ma carte d'identité pendant que je monte chercher de la monnaie", ai-je proposé quelques secondes après.

Il n'a pas répondu. Je m'apprêtais à répèter quand il a plongé son regard dans le mien.

"- C'est pour moi", a-t'il simplement dit.

Sans mot dire j'ai hoché la tête.
Quand le taxi s'est arrêté devant chez moi, le chauffeur m'a tendu une carte. C'était sans doute la sienne.

"- N'hésitez pas à m'appeler" a-t'il ajouté.

J'ai hoché à nouveau la tête, songeant que j'aurais peut-être en effet l'usage de cette carte. Mais je n'en étais pas sûre.... A vrai dire, j'étais trop épuisée pour y penser...

 

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