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Carnaval princier (fin) |
Un carnaval princier (fin) Toutes les bonnes choses ont une fin et
après trois jours de folie Charlie et moi avons fait nos paquets et avons quitté
notre hôtel et les nombreux plaisirs que le Lichtiengland nous avait procurés
pour retourner en notre auguste capitale. Nous roulions depuis des heures et avions parcouru sans doute au moins la moitié du chemin lorsque la voiture s'est mise à trembler dangereusement. "Merde!" s'est exclamée Charlie tout en luttant
pour maintenir la direction. Elle était cramponnée à deux mains sur le volant,
chose très inhabituelle pour elle. Il se passait qu'on venait de crever. Sans
s'énerver, Charlie a continué de conduire jusqu'à l'aire de repos qu'elle
distinguait un peu plus loin et s'est arrêtée. Elle a sorti une cigarette de son
paquet et a commencé à la fumer, avant même de sortir jeter un oeil à la roue
problématique. "Ne t'inquiète pas, je sais comment changer une roue!" a-t-elle dit. "C'est juste le retard que ça nous occasionne qui est un peu relou. Enfin...." Elle est descendue de voiture et je l'ai imitée. Se penchant sur la roue elle l'a examinée avant de conclure: "Bon, c'est juste une crevaison de base, allez, on change la roue et on repart!" Vingt minutes plus tard, nous collions la roue
fautive dans le coffre et redémarrions. Pourtant, nous n'étions pas au bout de
nos peines car, de façon presque inexplicable, nous n'avions pas roulé trente
mètres que le même incident se reproduisait. "Bon... en gros nous n'avons plus qu'à attendre l'aide du premier clampin qui passe!" a dit Charlie d'un ton plus calme que ce à quoi je m'attendais. La situation était certes ennuyeuse mais pas
désespérée, au pire nous aurions quelques heures de retard et personne n'en
mourrait, mais je ne parvenais pas à me détendre autant qu'elle. Lorsque nous avons finalement vu deux gros phares
s'approcher nous avons presque crié victoire. Charlie s'est levée d'un bond et a
couru faire signe au conducteur de s'arrêter, agitant les bras comme une
forcenée. Il s'agissait d'un gros camion, qui a ralenti avant de venir se garer
près de nous sur l'aire de repos. "Vous avez un problème mes jolies?" a demandé le conducteur en riant. "Deux dames comme vous ne devraient pas être ici au milieu de nulle part sans homme avec une si petite bagnole, ça vaut rien ces trucs-là tout le monde le sait! vous avez de la chance qu'on se soit arrêtés!" Sans savoir pourquoi, je n'étais pas convaincue
par le ton de cet homme. Pendant qu'il parlait, son passager s'est approché de
la voiture, sans doute pour l'examiner, mais je pouvais voir qu'il observait
plutôt Charlie mine de rien. "Oh mais ça presse pas, ma jolie", a jeté le passager, revenant vers nous. "tu serais pas la nénette qui jouait dans 'taxi fucker' et dans 'la prof de gym est une salope'???" "Mais parfaitement, Messieurs", a répondu Charlie sans se troubler. Les deux hommes se sont laissés aller à quelques
rires gras et je commençais à trouver la situation peu confortable. Ces hommes
ne paraissaient même pas impressionnés par le fait de rencontrer Charlie en
chair et en os et je n'aimais pas leur attitude. "Ouais on peut vous emmener à la ville la plus proche mais ça va nous faire perdre une demi-heure par rapport à ce qu'on avait prévu, alors p'têtre qu'on va le faire mais alors il faudrait nous promettre d'être très gentilles!" Je voyais tout à fait ce qu'il voulait dire et
cette idée ne me plaisait guère, mais Charlie a soupiré et a hoché la
tête. "C'est pas tous les jours qu'on rencontre une salope comme toi dans la vie", a fait remarquer le chauffeur. J'ai eu envie de le frapper mais Charlie était rentrée dans le jeu: "Ca tu peux le dire, et encore, tu n'as pas tout vu!" a-t-elle dit de son air le plus aguicheur, comme si elle avait été en train de tourner une scène. "Alors comme ça vous avez vu mes films?? Vous avez aimé??" "Et comment:!!" ont ricané les deux hommes de concert. "Allons dans le camion" a ordonné le passager d'un ton qui n'admettait pas de réplique. La mort dans l'âme je les ai suivis, maudissant ma
malchance et la situation. "Justement ça commençait à faire longtemps que je n'avais pas bouffé la chatte d'une bonne femme comme ça sur la route!" a-t-il dit avec raffinement tout en essayant d'arracher ma culotte. Je m'apprêtais à lui demander si ça lui arrivait
si souvent que ça mais je n'en ai pas eu le temps: la dentelle de ma culotte
venait de rendre l'âme et j'ai été terrassée par une sensation de plaisir
intense. Ce type s'était littéralement jeté sur ma chatte pour l'heure peu
motivée pour ce genre d'exercice et déjà sa langue avait pris d'assaut mon
clito, le soumettant à une sarabande d'enfer parfaitement maîtrisée dans sa
violence apparente. Pendant que Biker s'activait toujours à me lécher
la chatte, j'observais Charlie, toujours concentrée sur Boule-à-Z. Elle faisait
vraiment du boulot de pro: l'homme était bien pourvu mais elle prenait jusqu'à
la garde au fond de sa gorge, ne s'arrêtant que lorsque ses lèvres touchaient
ses couilles et son ventre, puis faisant lentement le mouvement inverse,
jusqu'au gland qu'elle laissait sortir presque entièrement de sa bouche avant de
l'enfourner à nouveau. Je n'ai pas mis très longtemps à ressentir au
creux du ventre et de la gorge cette chaleur annonciatrice de l'orgasme et j'ai
brusquement rejeté la tête en arrière, la bouche grande ouverte, à la recherche
d'une grande goulée d'air, tandis que je sentais remonter le long de ma colonne
vertébrale la boule de feu qui n'allait pas tarder à exploser. "Attends!! Tu ne vas pas faire ça: tu ne vas pas gâcher une bonne queue bien dure avec elle, elle est sympa mais elle suce pas terrible tu sais, viens plutôt me voir, je n'aime rien tant qu'avoir deux mâles rien que pour moi!....." J'en croyais à peine mes oreilles. Avec joie, j'ai
vu l'homme répondre avec un large sourire et se détourner moi sans plus de façon
pour se rapprocher de Charlie, qui suçait toujours Boule-à-Z avec une ferveur
dont moi seule pouvais douter. Sans s'interrompre, elle a tendu un bras pour
atteindre sa bite et l'a attrapée fermement, l'attirant vers son visage, puis
elle a commencé à les sucer tous les deux, alternativement. Boule-à-Z, décidant tout à coup qu'il avait été assez sucé comme ça, s'est exclamé: "Putain ce que c'est bon salope! C'est pas tous les jours qu'on baise une chienne de films pornos comme toi! J'ai envie de te défoncer la chatte maintenant!" Accueillant cette option avec bonhomie, Charlie
l'a placé derrière elle afin qu'il puisse la baiser en, levrette pendant qu'elle
continuerait de sucer Biker, qui lui n'en avait pas eu assez. "Hummm.....allez on se la tire à deux et on n'en parle plus" s'est exclamé Biker, encouragé par la scène qui se déroulait juste sous ses yeux. Je l'ai vu attraper la taille de Charlie et la
faire se relever pour l'asseoir sur sa queue pendant que Boule-à-Z se
positionnait contre son anus, forçant un peu avant de s'enfoncer en elle avec un
râle de plaisir qui en disait long. Les deux hommes se sont donné quelques instants
pour souffler, puis se sont rhabillés, l'air soudain moins brave. Charlie a souri, l'air un tout petit peu fatigué. "Ca ira, merci..." a-t-elle répondu. "Par contre, je ne voudrais pas vous presser, mais.... l'heure tourne!" Je me suis mise à rire silencieusement. Elle ne
perdait pas le nord, cette Charlie. Vingt minutes plus tard, nous étions installées
dans la dépanneuse, prêtes à retrouver notre pauvre véhicule et à rentrer chez
nous. Plus tard, lorsque nous nous sommes enfin retrouvées seules, j'ai enfin pu la remercier. "C'est mon job!" s'est-elle exclamée. "Cette fois, j'ai payé pour le dépannage et voilà!" Elle m'a glissé un regard en biais avant
d'ajouter: "A charge de revanche!!" FIN
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