Solitude de Dieu
Retour à:
L'Écrivain
Mandala-1
Poésie
Mandala3
Contes et Nouvelles
Mandala4
Théâtre
Mandala5
Romans
Mandala-2
Autres

Romans, récits

"L'insaisissable, l'absolu, la mystique, l'oiseau, l'eau, l'arbre, Dieu, la lumière, l'obscur, le questionnement: Monique Thomassettie est dans tous ces mots à la poursuite de ce qui fait notre univers, notre destin dans leur imprenable portée. Elle l'est également dans la multiplicité de ses tableaux symbolistes, vus en songe (…) elle a une vision protéiforme de notre aventure humaine et cosmique la plus cachée. Celle qui affleure dans les légendes, mémoires du monde. Qui s'interroge aussi dans les philosophies."
Luc Norin, La Libre Belgique, 27 août 2004.



VIENT DE  PARAÎTRE (avril 2009)

aux Autoéditions M o n é v e i L :


Le fruit d'Éden, c'est une bonté divine
poussée sur un arbre humaniste
au bout d'un souple bras


Roman serpentuel
philosophique et philopsychique

Fruit d'Eden
Écrit du 10 juin au 22 août 2008 (et mars 2008)

En 1° page de couverture :
Échelle et chapelle ardente, 1996, tableau de l'auteur
En 4° page de couverture : Labyrinthe, 1982, dessin de l'auteur


Critique de Sahkti, le 29 mai 2009
CritiquesLibres.com :

" Parcours symbolique

L'oeuvre de Monique Thomassettie est un travail complexe qu'il convient d'appréhender de l'intérieur, se glissant tour à tour dans la peau des personnages, endossant ce costume initiatique nécessaire à l'exploration de cet univers peuplé de symboles et de découvertes.

Une fois de plus, l'auteur nous entraine dans une quête existentielle dont on ne sort pas totalement indemne. Décryptant l'aura féminine, elle s'interroge sur les rapports fondamentaux entre l'Homme et la Nature, entre la Femme et le Serpent, entre les Etres, sur un parcours de vie que l'on pourrait concevoir prédestiné, nous accueillant sur le sentier, et qui apparaît pourtant modulable selon la volonté qu'on lui imprime.

"Roman serpentuel philosophique et philopsychique", tel est le sous-titre de ce voyage à travers les méandres de l'esprit. Un voyage qui se caractérise par l'esprit d'ouverture et de questionnement dont fait preuve l'auteur dès le départ, ne serait-ce déjà que par le titre, porteur, de son roman.

Et si l'Homme (la femme surtout) n'était pas le prisonnier que l'on pense depuis l'origine du monde? Si un choix lui avait été proposé et que sa destinée pouvait être portée à bout de bras, selon son désir? En partant de cette hypothèse constructive, Monique Thomassettie évoque tous les possibles, les éventuelles routes à emprunter et éviter. Une démarche qu'elle ne veut ni extérieure ni froidement narrative; elle vit ce périple, le traverse et se veut témoin d'une mutation psychique et philosophique qui ne peut que faire avancer. Nous sommes un acteur de l'évolution et la maturité de l'âme passe par ces introspections vitales à notre esprit.

Un roman dense, à la portée tant universelle qu'individuelle, dans lequel on entre avec curiosité, avant de se laisser emmener pour une promenade symbolique et lyrique dans les courbes de la pensée philosophique. "

Sahkti, "CritiquesLibres.com", 29 mai 2009 





Le Maître d'or, Roman épistolaire, Luce Wilquin, Avin, 1996
Maître d'Or
Couverture :
crayons de couleur de l'auteur, 1990, Rosace-mandala – projet de vitrail
À l'intérieur : 1
tableau de l'auteur, 1986, L'Iconoclaste
 
" … une sorte d'autobiographie. Mi-songée mi-réelle, elle constitue une suite de cinquante-deux lettres adressées à l'homme aimé, retenu dans un pays lointain où, victime de son métier, il est prisonnier. Il demande à l'amante de lui écrire le livre de sa vie. (Ces lettres) pourraient être celles d'une 'princesse lointaine' qui se dépouille, un à un, de ses voiles les plus secrets pour en faire don à l'être idéal baptisé 'le maître d'or'. Roman au féminin où dit et non-dit se poussent l'un l'autre, où le point d'ancrage est un tableau de l'auteur, 'l'Iconoclaste', achevé en 1986. Thomassettie: éparse et rassemblée. "
Luc Norin, "La Libre Belgique", 14 février 1997

... Je veux à présent piocher des parois rugueuses, souterraines; en extraire des pépites, comme les esclaves indigènes arrachant l'or à leur terre, obligés de le donner ensuite à des maîtres étrangers. Ouvrière, je travaille maintenant pour des maîtres étrangers à mes recherches.
Cet extrait de mon roman: Le Maître d'or, ne signifiait pas, contrairement à ce qu'on a pu le supposer, que les maîtres étrangers à mes recherches étaient des "nègres" littéraires. Si, à l'époque, j'avais connu le fonctionnement "nègre", je ne me serais pas exprimée en des mots pouvant prêter à malentendus. Ouvrière, disais-je. Certes, mais que n'ai-je ajouté: orfèvre et compositrice de mon or. Mon idée d'un maître d'or était celle d'une justice espérée qui me protégerait contre les vols. Cet or n'est évidemment pas matériel. Malheureusement, il est des "épées" qui défendent davantage les voleurs que les volés. Ainsi, il est des "alchimies" qui transforment l'or en argent. Un mot encore à ce sujet: pourquoi me comparer à une esclave? C'est que je me sens "esclave de mon Art": n'est-ce pas la définition de l'artiste (peintre et écrivain).

80 pages. 
ISBN 2-88253-067-6



La portée d'exil, roman épistolaire, Lux, Avin, 2001

Couverture : tableau de l'auteur, 1991, Lever de soleil
À l'intérieur : 1 dessin de l'auteur


Dans ses écrits antérieurs comme dans sa dernière oeuvre, Monique Thomassettie épouse ses différentes représentations de l'univers :
elle par rapport à ses pro
ches, elle par rapport à Dieu, elle par rapport à la Terre, au feu qui l'habite,
elle dont le caractère polymorphe lui
interdit le simplisme et l'improvisation.
C'est donc de
cette personnalité que naît le livre, alimenté par une réflexion de tous les instants
et d'un positionnement difficile
par rapport au questionnement lui-même.
Thomassettie
se confie naturellement au lecteur, le prend à témoin, le rassure aussi quant à la complexité de ['argument :
“"Rien
d' "idéologique" dans mes pensées. Mes visions sont mystiques et aimantes. Charnelle, ma musique.” (p.37).
Il y a chez cet auteur comme un "étourdissement" de fond, un étonnement d'être confronté à la réalité du mot,
à
la vérité du quotidien, à la vacuité des occupations, à tout ce qui fait l'univers du temps compté.
C'est donc par une
démarche métaphorique et onirique que l'écrivain tente d'approcher son lecteur.
Dans la peau d'une Mélisande au
bord de la source, dépossédée par le réel
mais prête à
mêler ses propres images à celle d'un passant,
Thomas
settie fait passer son unanimisme de conviction à travers une idée du trait, de la couleur ou de l'écriture :
“Mémoire
de braise sur laquelle souffler”, (p. 120).
Le goût de
l'énigme est le fondement d'un livre à poser comme on pose le regard,
avec suffisamment de lucidité pour en
décrypter le sens.

Michel Joiret, "Le Non-Dit" N° 53, janvier 2002


" Peintre et poète, Monique Thomassettie nous offre avec 'La portée d'exil' un roman épistolaire suivi d'un dialogue 'Les paliers aériens' d'une haute tenue littéraire, où l'imaginaire, la vision intime de l'être, le songe éveillé, l'esthétique et le sensible… s'allient merveilleusement pour créer une œuvre de lumière et d'amour, où le verbe s'ouvre sur une universalité réinventée ! Le regard scriptural de Monique Thomassettie, à l'instar de sa peinture, possède une symbolique forte, sensitive, quasi médiumnique… La voix, ici, est tout à la fois interrogation et réponse, portant en elle la quintessence même des Origines (…)
la légende intérieure d'une femme, qui s'attache à métamorphoser ses méditations et ressentis d'être en une création multiple pour une autre forme, plus divine, de don de soi. "
Nathalie Lescop-Boeswillwald, "Les Amis de Thalie", N° 45


138 pages. 
ISBN 2-87408-167-1
Portée d'exil



La Source raphaëlle, Récit, Éole, La Roche-en-Ardenne, 2006
Source Raphaëlle
Couverture : tableau de l'auteur, 1977, Mes parents jouant au scrabble
À l'intérieur : 1 tableau de l'auteur, 1985, Raphaël ou "Dieu guérit"

Écrites avant, pendant et après la mort de mon père, ces pages m'ont aidée à l'assumer. J'y ai entremêlé chagrin, souvenirs, perceptions et pensées. Pensées nouvelles ou anciennes, les premières suscitées, les secondes amplifiées, par l'émotion. Ainsi, mon expression au jour le jour, à la nuit la nuit, m'a permis de vivre ce déchirement avec la consolation de l'esprit.
Extrait

"... ce beau récit dont la lecture m'a ému (...) par son côté familial, mais aussi par sa dignité et sa profondeur."
Jean Lacroix

78 pages. 
ISBN 2-87186-125-0





Retrouvaille, Roman, Éole, La Roche-en-Ardenne, 2006

Couverture : tableau de l'auteur, 1978, Méditation
À l'intérieur : 1 dessin de l'auteur


"… Monique Thomassettie tend à introduire le lecteur dans l'acte créateur même avec ses hésitations, ses intentions, ses réussites et ses faiblesses (…) on découvre une artiste sensible, méditative et portée à la mystique, sans se réclamer d'une religion déterminée. Quelque part, l'on décèle comme une nostalgie de cette ancestrale façon de voir. L'action est donc lente, la pensée parfois répétitive. Le ton, celui de la confidence. L'appel de complicité intellectuelle et de compréhension fraternelle (…) Son texte nous livre un tas de réflexions des plus intéressantes sur l'interaction entre le modèle et l'artiste. Elle entre dans l'intimité de l'atelier (…) un livre plein de notations précieuses… "
Émile Kesteman, "Nos Lettres", mars 2006


En février 2005, soit exactement un an avant la publication de mon roman, j'en écrivais l'Avertissement :

De 1978 à mai 1981, j'ai écrit trois cahiers. Régulièrement, un peu chaque jour ou presque, sans construction préétablie, ni retour en arrière. Me venait, au fur et à mesure de mon écriture, de mon désir d'exprimer, un déroulement progressif et cohérent. C'est que cette progression était déjà là, en moi, prémonitoire, potentielle et acquise tout à la fois. Elle n'avait plus qu'à se révéler sur mes pages. Ces pages me semblent avoir composé un modeste roman. Mon premier roman (chronologiquement parlant), qu'aujourd'hui, près d'un quart de siècle plus tard, je publie.


Je les ai donc publiés tels que je les ai écrits alors, et non pas "refondus" :
" Peut-être l'écrivain, qui connaît bien le monde artistique étant du sérail, a-t-il eu peur de trop refondre ses jets initiaux ? ", a-t-on erronément critiqué en automne 2006.
Qu'il me soit permis de me défendre pour rétablir ma vérité :
Je n'ai jamais été et je ne suis pas du "sérail" du "monde artistique".
Mon roman est une fiction, et certes une transposition de certains de mes vécus
– vécus situés en dehors de la sphère artistique.



94 pages. 
ISBN 2-87186-126-9
Retrouvaille



Le fruit d'Éden, c'est une bonté divine poussée sur un arbre humaniste au bout d'un souple bras,
Roman, M o n é v e i L, Bruxelles, 2009
Fruit d'Eden

En 1° page de couverture :
tableau de l'auteur, 1996, Échelle et chapelle ardente
En 4° page de couverture : dessin de l'auteur, 1982, Labyrinthe

Plus perplexe qu'inquiète, elle considérait les barreaux qui lignaient le soleil, lui donnaient une apparence rayée, alors que c'est elle qui était prisonnière.
Extrait

Critique de Sahkti : voir haut de page

98 pages. 
ISBN 978-2-9600794-2-5








Echelle
Retour au sommet de la page

Solitude de Dieu
Retour à: "L'Écrivain"