Les armes des comtes de Chiny (cfr 5 ci-dessous) depuis Othon
II |
Cette description donnée par Douxchamps peut surprendre,
la maison de Chiny portant dans de nombreuses représentations de
ses armes des « bars » plutôt que des truites.
On peut toutefois penser que des truites, poissons de nos rivières
ardennaises seraient bien compréhensibles. |
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Lorsque cette
localité entre dans la famille de Quiévrain, les armes sont
: "d'or au chef bandé de six pièces d'argent
et de gueules" |
Après
les pillages des Normands, des seigneurs laïcs en prennent possession mais
la comtesse Richilde exige la restitution d'une partie de ce fief, vers l'an
1080, pour y édifier probablement une tour de défense.L'autre
partie de la forêt est la propriété de l'abbaye de Denain,
comme l'atteste un diplôme de 877 de Charles le Chauve qui en confirme
la donation.
Un village se forme progressivement autour du château.
Le couple a huit enfants dont : Julienne de Looz
, dame d'Emblise, qui épouse Nicolas de Quiévrain
, fils de Gauthier II et N. de Mortagne
. Le couple a deux filles : Marie et Isabeau ou Isabelle
de Quiévrain.
P
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Armorial des Pays-Bas : Manuscrit
19194 - Bibliothèque Royale de Belgique
Chronologie historique des seigneurs de Quiévrain : Annales du Cercle
archéologique de Mons - T.XX - 1887 -
pp. 161-162
Douxchamps Cécile et José : Nos dynastes médiévaux
- 1966
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