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4. Examens DANs, programmes provinciaux, informations diverses. |
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Le Karaté Club La Louvière est en deuil. Mme
Gallot Clémentine, plus connue sous le nom de Mme Marchant, nous a quitté
le 19/10/2005. Elle fut la 1ère femme ceinture noire JKA de
Belgique (1er dan JKA le 18/12/1971). Son époux, André Marchant, a été
le 1er président de notre groupe francophone JKA en 1977. Avû l'keûr b'zant, I
n'èst toudîs éjîle Raymond HONORE - 26/10/2005
Résultats examens DANs Bruxelles (novembre 2005) -->> Résultats. La relève est-elle prête? Nos clubs évoluent dans des structures bénévoles et tout repose sur la bonne volonté des uns et la disponibilité des autres. Jamais la fédération ne remerciera assez tous ces instructeurs et leurs assistants. Sans ceux-ci, l’édifice s’effondrerait bien vite. Cette génération est à un tournant de son existence. Nous le voyons bien lors des cours fédéraux, les quarante cinquante ans forment le gros des troupes des instructeurs présents. Les jeunes responsables de club et les « nouvelles » ceintures noires ont parfois tendance à bouder les entraînements et les stages. Inutile de se voiler la face, nous savons que les instructeurs en place devront peu à peu se retirer, mais qui seront les volontaires pour reprendre le flambeau ? Qui acceptera encore de nos jours de passer de 2 à 4 soirées par semaine au club, d’accompagner les jeunes en championnat et/ou en stage, de passer 10 dimanches à arbitrer, de dépenser son énergie dans des réunions aux quatre coins du pays ? Certes, la fonction de responsable de club comporte aussi de nombreux bons côtés. Pour nos jeunes, nous sommes des exemples, nous avons parfois la satisfaction du devoir accompli quand un de nos membres remporte une compétition ou décroche sa ceinture noire. Il convient de souligner tout le volet relationnel, amical, voir familial qui est typique au karaté, la sensation d’être un maillon de la chaîne dans la continuité de l’enseignement de l’art martial qui est le nôtre. Mieux vaut prévenir que guérir et faire face à cette future pénurie d’instructeurs, il faut dès à présent au sein de chaque club concerné, discuter, proposer, convaincre, former. On ne devient pas responsable du jour au lendemain, la fédération pourrait peut-être aussi organiser une journée de contact avec les candidats afin de les initier aux diverses tâches administratives. L’avenir n’appartient-il pas ceux qui le prépare ?
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