#2Co 8.16-9.5 Des dispositions pratiques 

8.16 ¶ Grâces soient rendues à Dieu de ce qu’il a mis dans le coeur de Tite le même empressement pour vous;
17 car il a accueilli notre demande, et c’est avec un nouveau zèle et de son plein gré qu’il part pour aller chez vous.
18 Nous envoyons avec lui le frère dont la louange en ce qui concerne l’Evangile est répandue dans toutes les Eglises,
19 et qui, de plus, a été choisi par les Eglises pour être notre compagnon de voyage dans cette oeuvre de bienfaisance, que nous accomplissons à la gloire du Seigneur même et en témoignage de notre bonne volonté.
20 Nous agissons ainsi, afin que personne ne nous blâme au sujet de cette abondante collecte, à laquelle nous donnons nos soins;
21 car nous recherchons ce qui est bien, non seulement devant le Seigneur, mais aussi devant les hommes.
22 Nous envoyons avec eux notre frère, dont nous avons souvent éprouvé le zèle dans beaucoup d’occasions, et qui en montre plus encore cette fois à cause de sa grande confiance en vous.
23 Ainsi, pour ce qui est de Tite, il est notre associé et notre compagnon d’oeuvre auprès de vous; et pour ce qui est de nos frères, ils sont les envoyés des Eglises, la gloire de Christ.
24 Donnez -leur donc, à la face des Eglises, la preuve de votre charité, et montrez-leur que nous avons sujet de nous glorifier de vous.


9.1 ¶ Il est superflu que je vous écrive touchant l’assistance destinée aux saints.
2 Je connais, en effet, votre bonne volonté, dont je me glorifie pour vous auprès des Macédoniens, en déclarant que l’Achaïe est prête depuis l’année dernière; et ce zèle de votre part a stimulé le plus grand nombre.
3 J’envoie les frères, afin que l’éloge que nous avons fait de vous ne soit pas réduit à néant sur ce point-là, et que vous soyez prêts, comme je l’ai dit.
4 Je ne voudrais pas, si les Macédoniens m’accompagnent et ne vous trouvent pas prêts, que cette assurance tournât à notre confusion, pour ne pas dire à la vôtre.
5 J’ai donc jugé nécessaire d’inviter les frères à se rendre auparavant chez vous, et à s’occuper de votre libéralité déjà promise, afin qu’elle soit prête, de manière à être une libéralité, et non un acte d’avarice.